Éducation populaire / Partage de savoirs

Extrême-droite / Antifascisme

[Atelier d’écriture] Imaginons des lendemains qui chantent

🔎Après avoir décrypté comment le langage façonne nos manières de penser, nous réfléchirons collectivement à créer de nouveaux discours émancipateurs dans le cadre d’un atelier joyeux et participatif. 👉Au cours d’une après-midi destinée à décrypter les stratégies de communication utilisées par les dominant·es, nous analyserons quelques points théoriques afin de nous outiller pour mieux comprendre comment se construisent les idées réactionnaires. 👉Au travers d’un atelier d’écriture ludique et réflexif, nous élaborerons des discours destinés à imposer notre vision progressiste et riposter. 𝗥𝗲𝗷𝗼𝗶𝗴𝗻𝗲𝘇-𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗻𝗮𝗿𝗿𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀 𝗮𝗹𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗳𝘀. 𝘊𝘦𝘵 𝘦́𝘷𝘦̀𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘴𝘵 𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘦́ 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦 𝘔𝘰𝘶𝘷𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘗𝘳𝘦́𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘦𝘵 𝘈𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘊𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘊𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘓𝘪𝘣𝘳𝘦𝘹. - 𝗜𝗻𝗳𝗼𝘀 𝗽𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : 🟪Une garderie est prévue durant toute la durée de l’atelier, contactez-nous pour toute information complémentaire. 🟦Inscription recommandée via formulaire : https://miniurl.be/r-63qs 🟪Atelier gratuit

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Éducation populaire / Partage de savoirs

[Formation] La puissance de l’agir collectif

2 jours, 2 outils et 1 fil rouge pour renforcer les initiatives citoyennes de transition 2 journées de formation pour mieux comprendre les enjeux de la mondialisation, tenter d’ouvrir des perspectives d’actions solidaires/citoyennes et insuffler une vision politique cohérente à nos processus pédagogiques ! La mondialisation est caractérisée par des interdépendances de plus en plus complexes. Les crises se superposent faisant apparaître des tensions entre les solutions à apporter à chacune d’elles… Comment résoudre la crise écologique sans aggraver la crise économique, sociale et vice et versa ? Quelles stratégies d’actions mobiliser ? Quel rôle pouvons-nous jouer, ici et maintenant, pour un monde socialement plus juste et écologiquement soutenable ? Comment aborder tout cela avec nos publics ? Quelle posture politico-pédagogique adopter ? PROGRAMME : JOUR 1 : Dans quel monde vivons-nous ? (Mieux comprendre les enjeux de la mondialisation, les crises actuelles et les liens avec le modèle néolibéral) + La puissance de l’agir collectif (Ouvrir des perspectives d’actions alternatives au modèle actuel, tant au niveau individuel que collectif) JOUR 2 : la posture de l’animateur·trice (Mieux s’approprier l’approche systémique comme méthode de réflexion et d’action) MODALITÉS : les jeudi 12 et vendredi 13 juin de 9h30 à 17h chez Relie-F (127 avenue Henri Jaspar 1060 Saint-Gilles) prix : frais d’inscription adaptés : 75€ (soutien à Quinoa) ; 50€ (standard) ; 20€ (réduit). Le prix ne doit en aucun cas être un obstacle, si c’est le cas, contactez-nous. plus d’info et inscription via https://quinoa.be/evenement/formation-%c2%b7-la-puissance-de-lagir-collectif/

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Extrême-droite / Antifascisme

« Pop Fascisme » – Arpentage et rencontre avec les auteurs

Le Mouvement Présence et Action Culturelles, Stand Up – Coalition contre l’extrême-droite et le fascisme, le CIEPBruxelles et la formation Fernand Lesoil vous proposent une journée de lecture collective et de rencontre autour de l’ouvrage 𝑃𝑜𝑝 𝑓𝑎𝑠𝑐𝑖𝑠𝑚𝑒 : 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙’𝑒𝑥𝑡𝑟𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑒 𝑎 𝑔𝑎𝑔𝑛𝑒́ 𝑙𝑎 𝑏𝑎𝑡𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑡 de Pierre Plottu et Maxime Macé. 🟧𝗗𝗲 𝟭𝟬𝗵 𝗮̀ 𝟭𝟯𝗵 : 𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱’𝗮𝗿𝗽𝗲𝗻𝘁𝗮𝗴𝗲 « Grand remplacement », « immigrationnisme », « bataille de civilisation »… Les mots de l’extrême droite, et par là ses obsessions racistes, ont envahi les débats politique et médiatique grâce à un intense combat mené par la fachosphère et ses influenceurs sur Internet. Cet écosystème coordonné, pensé et interconnecté a permis à ces « idées » de se répandre jusque dans les médias, avec l’appui de Bolloré et de ses sbires en croisade permanente. Combien de vues se transforment en voix pour le Rassemblement national ? Comment en est-on arrivé là ? Plongée dans le « pop fascisme », cette extrême-droitisation des esprits qui joue avec les codes de la culture populaire en ligne et infiltre l’époque. - 🟧𝗗𝗲 𝟭𝟰𝗵 𝗮̀ 𝟭𝟲𝗵𝟯𝟬 : 𝗥𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗠𝗮𝘅𝗶𝗺𝗲 𝗠𝗮𝗰𝗲́ 𝗲𝘁 𝗣𝗶𝗲𝗿𝗿𝗲 𝗣𝗹𝗼𝘁𝘁𝘂. Maxime Macé et Pierre Plottu sont journalistes spécialisés dans la couverture de l’extrême droite et de sa marge radicale. Après plusieurs années en tant qu’indépendants, ils œuvrent désormais à Libération où ils animent notamment la newsletter hebdomadaire dédiée Frontal. Ce livre est leur premier ouvrage. - ✅Rencontre gratuite, incluant les sandwichs, le thé et le café 📝𝗜𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲́𝗲 via notre formulaire : https://miniurl.be/r-63qi - 📙𝑪’𝒆𝒔𝒕 𝒒𝒖𝒐𝒊 𝒖𝒏 𝒂𝒓𝒑𝒆𝒏𝒕𝒂𝒈𝒆 ? Un arpentage est une lecture collective d’une œuvre. Cette technique issue de l’éducation populaire rend un livre plus accessible et permet à un groupe de s’approprier l’œuvre en développant, ensemble, une analyse critique. Il n’est pas nécessaire de lire le livre à l’avance ni de l’acheter pour venir à un arpentage.

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Extrême-droite / Antifascisme

Matin de PAC – Pourquoi le 08 mai doit redevenir un jour férié ?

Le 08 mai 1945, l’Allemagne Nazie est vaincue et un nouveau vent de liberté conduit à la Déclaration Universelle des Droits Humains et donne du souffle aux projets de sécurité sociale qui ont émergé durant la guerre. Cette journée est depuis lors un jour férié dans de nombreux pays européens, comme chez nos voisins Français et Hollandais, qui en profitent pour célébrer la résistance contre les idées d’extrême droites. 𝗘𝗻 𝗕𝗲𝗹𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗹𝗲 𝟬𝟴 𝗺𝗮𝗶 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘂𝗻 𝗷𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗲́𝗿𝗶𝗲́ 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝟭𝟵𝟳𝟰. Avec la suppression de ce congé, c’est la mémoire des enjeux que porte cette journée qui s’est estompée au sein de la population Belge. Dans un contexte, où l’on observe une montée en puissance des idées et des politiques d’extrême droite, un peu partout dans le monde et plus particulièrement en Europe, il est plus que jamais temps de raviver la flamme de la mémoire du 08 mai pour la célébrer comme ce qu’elle devrait être en Belgique : 𝗨𝗻𝗲 𝗷𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝗻𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗲𝘅𝘁𝗿𝗲̂𝗺𝗲 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝘀𝗲𝘀 𝗶𝗱𝗲́𝗲𝘀 𝗻𝗮𝘂𝘀𝗲́𝗮𝗯𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀, 𝘂𝗻𝗲 𝗷𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲́𝗹𝗲́𝗯𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲́𝘀𝗶𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝗼𝘂𝗶 𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́𝘀. Pour en parler nous recevrons : 🔹Ellen de Soete – Enfant née de parents résistants et coordinatrice de la Coalition 8 mai, engagé dans l’éducation à la mémoire afin que les jeunes, en particulier, connaissent leur histoire pour adopter un regard critique sur l’avenir. 🔹Miguel Schelck – Animateur Jeunes FGTB, militant dans le groupe syndical antifasciste Bruxelles et membre de la Coalition 8 mai 🟩Entrée libre 🟩Inscription souhaitée via formulaire : https://miniurl.be/r-63g4 👉Si vous souhaitez participer à l’Aprem de PAC (à 14h) – Arpentage « Résister » de Salomé Saqué, un sandwich et une soupe vous seront proposés : https://miniurl.be/r-63g3

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Médias

[Brochure] Technologie et prison

Emission audio disponible ici . Introduction Une des caractéristiques des prisons modernes c’est d’être équipées de toujours plus de technologies. Ces avancées technologiques sont présentées comme des améliorations pour les prisonnier·es et, par opposition aux vieux cachots vétustes, ce serait carrément humanisant. En réalité les technologies servent globalement à augmenter la sécurité de la prison, synonyme de plus d’isolement pour les prisonnier·es, en limitant les contacts humains et en tentant de ne laisser plus aucun angle mort, en mettant chaque endroit et chaque interaction sous contrôle. Que ce soit la protection des murs d’enceinte, le contrôle des visiteur·euses, le contrôle des mouvements dans la détention et des communications des détenu·es entre elleux et avec l’extérieur, les outils technologiques visent à restreindre au max le peu de marge de manoeuvre qui existent dans les prisons et empêcher la débrouille. Pour cela on va voir que les dispositifs de brouillage d’ondes et les caméras se multiplient, les détecteurs d’objets sur les personnes se perfectionnent, l’utilisation de la biométrie se banalise, le traitement des données se numérise, se centralise, s’automatise. On parlera aussi de l’accès des détenu·es aux technologies, car comme à l’extérieur la soi-disant émancipation par la technologie aide à faire passer la pillule de la société sécuritaire que nous promet le tout numérique. Après cet état des lieux de l’usage de la technologie dans les prisons françaises on ira voir ce qui se passe du côté des entreprises privées et de certaines prisons étrangères, car les deux ont une influence sur le futur d’ici. Pour finir on parlera de luttes et résistances à l’intérieur des prisons contre les avancées technologiques. Panorama de l’usage de la technologie dans les taules françaises La détection des téléphones À partir des années 2000, la présence de portables dans les taules s’est multipliée et jusqu’à aujourd’hui l’administration pénitentaire (AP) tente au maximum de limiter leur nombre. En 2023, par exemple, c’est 53 000 portables qui ont été saisis dans les taules en France. Mais les portables introduits étant pour certains très petits, il est difficile d’empêcher leur entrée, les détecteurs de masse métallique ne détectant les métaux qu’à partir d’un certain poids. Il est donc facile de trouver des portables miniatures dans le commerce et de les faire entrer. Une nouvelle génération de portiques plus efficaces, similaires à ceux des aéroports, a été mise en place depuis 2011 dans les maisons centrales, à Lannemezan, Saint Maur, Moulins, Clairvaux, Condé-sur-Sarthe, Arles, Réau, Vendin-le-Vieil, Lille-Annoeullin, Valence et Fresnes. Ces POM, portiques à ondes millimétriques, détectent les surfaces et permettent de voir à l’écran la présence d’objets métalliques, plastiques, liquides, semi-liquides, et en papier, y compris lorsqu’ils sont dissimulés entre les vêtements et la peau de la personne contrôlée....

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Médias

Foire du livre anarchiste à Gand le 17 et 18 mai

Bienvenue à toutses pour cette 21e édition de la foire du livre anarchiste à Gand ! Retrouvez des stands d’ici et d’ailleurs - en français aussi ! Le programme des discussions sera bientot dispo à abgent.noblogs.org (english below) De zon schijnt opnieuw en de anarchistische boekenbeurs is terug ! De 21ste editie al weer. We willen nog steeds het papier in onze handen vieren, ver weg van de digitale nachtmerrie die in onze intiemste kringen kruipt. Op de boekenbeurs vind je naast boeken tal van andere publicaties, brochures, pamfletten, posters en stickers. Van oude romans en revolutionaire klassiekers, over filosofie en poëzie tot hedendaagse sociale kritiek of de nieuwste oproepen tot strijd : ze vertrekken vanuit de wil om de wereld ingrijpend te veranderen. Ze delen ideeën en proberen die te verdiepen. Ideeën : geen vermarktbare, like-bare, brave opinies zonder inzet. Maar de boekenbeurs is nog veel meer ! De anarchistische boekenbeurs is ook een internationale bijeenkomst van anarchisten en anti-autoritairen, met discussies, workshops en informele uitwisseling. We willen met de boekenbeurs bijdragen aan het versterken van de anarchistische beweging in de lage landen. We zien het als een instrument om ideeën te verdiepen, een gelegenheid om voorstellen te lanceren en om banden te smeden tussen individuen en groepen. We willen onze passies met elkaar delen en een context creëren waar woorden en daden met elkaar dansen en elkaar versterken. Onze anarchie draagt een offensieve positie tegenover de macht en een wil tot subversie in zich. Oorlog en militarisering zijn overal rondom ons. De regering smeedt plannen om oorlogsfabrieken te bouwen, voert opnieuw de militaire dienst in en wil van het land de logistieke draaischijf van oorlogsvoorbereiding maken. Besparingen op alle fronten gaan rechtstreeks naar de oorlogskas. Oorlogsretoriek wordt het nieuwe normaal. Om het militair-industrieel complex vorm te geven, hebben de staten en het kapitalisme niet enkel kanonnenvlees en werkmensen nodig, maar moeten ze ook de aarde alsmaar diepgaander plunderen. Overal in de wereld worden mijnen uitgebreid of heropend, op zoek naar grondstoffen om hun economie te voeden. Het zijn sombere tijden, waar angst en wanhoop nooit ver zijn. Overal ter wereld vechten mensen tegen deze mechanismen van macht en geld. Voor ons is de boekenbeurs een plek om deze strijden te delen, te verdiepen, te versterken. Welkom op 17 en 18 mei 2025 op de boekenbeurs ! Hou je oren en ogen open voor het volledige programma op abgent.noblogs.org Tot dan en leve de anarchie ! The sun is shining again and the anarchist book fair is back ! The 21st edition already. We still want to celebrate the paper in our hands, far away from the digital nightmare that creeps into our most intimate circles. At the book fair, you will find plenty of other publications besides books, brochures,...

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Histoire / Archives

[Grèce] Message de Dimitris Chatzivasileiadis pour le procès de Daniela Klette

Agissons pour la liberté maintenant ! Tout le jeu de l’État allemand contre les camarades Daniela Klette, Ernst Volker Staub et Burkhard Garweg est une opération de guerre psychologique, ce qu’ils appellent, selon leur terminologie, des « psy ops ». Outre la tentative toujours vaine de la contre-insurrection d’isoler la lutte révolutionnaire, elle cherche dans cette traque à torturer l’histoire vivante, à l’enterrer sous le béton, afin de répandre l’idée que toute résistance est finalement anéantie, et d’instiller la terreur parmi les nouvelles générations révolutionnaires. Se soustraire aux filets de la contre-insurrection constitue une résistance importante : elle prive l’État de la possibilité d’accomplir le rituel de « l’acte final ». C’est pourquoi sa vengeance contre l’histoire rebelle, désormais manifestée sur le corps et la personne de la camarade Daniela, est omniprésente. Les fugitifs prouvent que le chemin vers la liberté est inéluctable. Malgré la capitulation de l’organisation révolutionnaire, les trois camarades luttent depuis des décennies pour l’auto-organisation de la vie prolétarienne contre les chaînes de la discipline de classe et de la civilisation bourgeoise qui tue pour l’argent. Il nous appartient désormais à tous de transmettre l’histoire de ces camarades aux résistances actuelles. Les cœurs qui refusent de vivre en esclavage ne laissent aucun maître décider de l’acte final. Et parce que chaque « dernier mot » de l’État, politique, judiciaire, économique, scientifique, signifie l’écrasement du corps commun, nous ferons tout pour mettre fin à la captivité de Daniela Klette. L’héritage politique le plus important du mouvement révolutionnaire allemand est l’internationalisme stratégique et organique. Burkhard, aujourd’hui encore, ne se cache pas, il chante pour le corps ensanglanté de la Palestine, du Kurdistan, du prolétariat polyethnique et de la Terre. La vieille Europe, familière de la guerre coloniale, du nationalisme et de l’impérialisme, veut faire le procès de Daniela. Que les vampires comprennent que notre peuple n’est pas fait pour leurs dents. Dimitris Chatzivasileiadis , 20-03-2025, Prison de Domokos Collage à Bruxelles

Ailleurs Ailleurs |
Extrême-droite / Antifascisme

Chronique d’une occupation : 1 an après

Réflexion autour de nos luttes à travers l’article « Intifada étudiante de mai 2024 » Au Kodacafebar Rue du Monténégro 44 à Saint-Gilles 1060. Un an après le début de l’occupation du bâtiment Walid Daqqa sur le campus de l’ULB et de la création de l’Université Populaire de Bruxelles dans un contexte d’intensification du génocide mené en Palestine ... et à une semaine du premier mai révolutionnaire, un atelier de réflexion autour des moyens de résistance à notre échelle est hébergé à Koda. On réfléchira à dire quelle place la créativité a dans nos luttes pour échapper à la capture idéologique ? Comment contextualiser à travers des territorialités l’action politique et quels sont les enjeux sous-jacents ? Créer et penser la résistance à partir de nouveaux agencements collectifs d’énonciation. Ces concepts et problématiques sont des points de départ ouverts, des lieux que l’on quitte ou que l’on retrouve pour mieux amorcer un échange commun autour des questionnements qui animent nos luttes et afin d’ouvrir des multiplicités politiques subversives. Nous prendrons appui sur un article paru dans LundiMatin (lien plus bas). Les auteurs sont présents pour exposer les principaux concepts du texte et lancer la réflexion. Si ça te dit, tu peux venir avec un texte, des images susceptibles d’alimenter la réflexion (à envoyer avant la date de l’événement à rhizomechimerique@proton.me pour pouvoir l’exposer en veillant à l’anonymisation). La librairie et maison d’édition Météores sera présente à l’événement et un exemplaire actualisé et augmenté de l’article sera fourni à chaque participant•es à l’entrée. L’entrée est à prix libre (l’argent collecté sera reversé au fond de soutien de l’UPB, auquel tu peux aussi faire un virement sur le compte hébergé par la fondation Marius Jacob : BE65 5230 8110 3896 avec la communication : FONDS SOLIDAIRE). L’événement ne sera ni filmé, ni enregistré, ni photographié pour garantir la sécurité de tous•tes. Lien vers l’article : https://lundi.am/Zerrouky-Madjid-Mas-Liselotte-A-Gaza-les-cimetieres-ne-sont-pas-epargnes-Le

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Santé / Soins

Formation Culture de Paix

Tracer des chemins pour la paix ? La militarisation de nos sociétés se déroule désormais au grand jour et à pas accéléré. La guerre est présentée comme le seul horizon. Un narratif qui est supposé souder les Européen·nes dans une culture de guerre. « Où sont les défenseur·es de la paix, les cultivateur·ices d’un avenir ? », semblent demander quelques rares voix hésitantes, peut-être encouragées par la très grande majorité sidérée et silencieuse. Ces voix ignorées et méprisées en période de non-guerre, pointées comme frein à l’unité sacrée en période de crise, pillées quand le doute vient heureusement à nouveau fracturer le conformisme, l’unanimisme belliciste, le solutionnisme violent. Ces voix, nos voix, sont inaudibles dans des contextes où la réaction est diffusée à la vitesse grand V des réseaux, amplifiés par l’artifice technologique et la hiérarchie des algorithmes des seuls puissants. Une seule salve d’un instant peut détruire – en apparence et matérialité ! – ce que des générations construisent patiemment. C’est le cas de la Paix, de l’idée même de la Paix. C’est donc maintenant que les tranchées sont creusées que nous devons vitaminer notre esprit, qui nous souffle de ne pas y sauter. Cette « autoformation » propose de penser ensemble notre autodéfense. De nourrir une stratégie pour tracer avec d’autres, avec force, des voies de paix et d’avenir. Pas de grand sermon pacifiste. Cette formation, c’est aussi l’occasion de rouvrir nos cicatrices mal suturées, de plonger les mains dans ce qui fait mal, pour réparer, soigner, et avancer. D’explorer les critiques qui nourrissent, d’imaginer, de construire. Il nous faudra convoquer les savoirs utiles —ceux qui gênent autant que ceux qui nourrissent. Il nous faudra faire face à l’animosité puissante de celleux qui s’enlisent dans la pente glissante de la guerre. Il nous faudra lutter contre le préjugé qu’on nous prête si aisément, celui de la passivité, de la naïveté, de la complicité du mal. Il nous faudra penser le présent à la lumière du passé, faire des choix, inventer des chemins. Et surtout, il nous faudra transmettre, vers d’autres moins convaincus, qu’il est nécessaire de ne jamais encourager la guerre mais bien de cultiver la paix. Nous ne sommes pas obligé·es de réussir. Nul·le n’a besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. Mais osons. Bon, ben, allons-y alors ? Oui, c’est bien beau tout ça, mais concrètement ? Quoi ? Un module de deux journées (engagement d’être présent·e les deux jours !) Quand ? Le vendredi 25 avril (de 9h à 16h) ET le vendredi 13 juin (de 9h à 16h) Pour qui ? Pour une quinzaine de participant·es : militant·es, activistes, penseur·es, citoyen·nes informé·es, … éducateurices de la Paix, pensée comme concept crucial. Modalités ? Participation gratuite (avec sandwich du midi compris !) Des finalités et des objectifs ? Sensibiliser et mobiliser autour de l’action non-violente pour la Paix, tout en la...

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Racismes / Colonialismes

STOP ADOPTION INTERNATIONALE

Atelier entre personnes adopté·es racisé·es Mercredi 23/04 14:00 > 17:00 La Bellone Selam, Bonjour à touxtes, LA STATION SAADA vous invite à rejoindre le mouvement international porté par des personnes adopté·e·s pour l’abolition de l’adoption internationale. Le mercredi 23 avril 2025, Lucile Saada proposera un atelier destiné aux personnes adopté·e·s racisé·e·s. Elle partagera des textes, des sons et des images issues de sa résidence d’écriture à Addis-Abeba, Ethiopie (février 2025). Comment développer une recherche esthétique au-delà du récit de soi ? Comment sortir des assignations du regard blanc occidental assoiffé du narratif de retour aux origines ? Comment construire une poétique singulière et émancipée dans le bruit des attendus coloniaux ? Enfin, quand les voies diasporiques s’écrivent sans les adopté·x·s, comment tracer une brèche collectivement ? LA STATION SAADA : espace artistique itinérant dirigé par Lucile Saada CHOQUET (elle/adoptée) Quelques mots sur « QUI ADOPTE QUI » ? Qui adopte qui ? est une recherche artistique qui se présente comme une (en)quête d’amour & de justice, depuis l’expérience d’une adoptée transraciale et transnationale. Je m’appelle Lucile Saada Choquet, je suis née à Djibouti de parents éthiopiens, je vis et je travaille en Europe. En octobre 2022, je fais le coming out d’une condition invisible, je transforme la honte d’être noire et adoptée en sujet de recherche. Je décide alors d’écouter le hurlement intérieur et d’enquêter sur ma colère contre le narratif dominant et romantisé de l’adoption internationale. Durant deux années de recherche j’écris, j’atteste de la colonialité, des pratiques illicites et des abus qui sous-tendent le système de l’adoption internationale pour rendre symboliquement justice aux vécus des personnes adopté·es. A qui profite le système de l’adoption internationale ? Au service de quel projet politique ? Je ne cesse de questionner et de décrypter ce qui permet de reproduire la violence capitaliste. Je cherche comment, depuis la mémoire du corps-archive(s), représenter ce que l’adoption internationale fait aux corps des personnes adoptées racisées. Comment créer à travers l’usage des arts performatifs des imaginaires non hégémoniques ? A partir de l’écriture du réel et de la mémoire d’un corps dépossédé, déplacé, approprié, comment déplier une théâtralité du chaos ? Je développe une dramaturgie en associant des approches littéraires, scientifiques, militantes, historiques et personnelles. En organisant des rencontres non-mixtes avec des adopté·es, je contribue à la transmission collective des savoirs empiriques et je nourris mes questionnements liés au faire famille et à la recherche d’une diaspora composée d’adopté·es. Au plaisir de vous voir nombreux·ses ! Chaleureusement, La STATION SAADA Atelier entre personnes adopté·es racisé·es (12 places) Mercredi 23/04 14:00 > 17:00 Rue de Flandre 46 - 1000 Bruxelles...

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Santé / Soins

LE CRI une émission des personnes privées de libertés

Le CRI - #6 - Les détenus parlent du blocage de la prison Dans cette nouvelle émission, les participants parlent des conséquences sur leur quotidien du blocage de la prison. Réalisation : Jamal, Serhat, Ghost, Sayour, Faouzi, Gaetan, Djibril, Taoufik, avec l’aide de Ben et Despina. Arrangement sonore et Mixage : Maxime Thomas L’émission est diffusée sur : . Radio Air Libre 87.7 MHz - Dernier jeudi du mois - 19:30 Retour ligne automatiqueRetour ligne automatique . Radio Campus 92.1 FM - Premier mardi du mois - 10:00Retour ligne automatiqueRetour ligne automatique . Radio Panik 105.4 FM - Premier jeudi du mois - 11:00 Si vous avez envie de nous contacter : lecri@gsara.be Bonnes écoutes à tout.e.s. LE CRI est une émission réalisée et animée par des personnes privées de liberté. Chaque jeudi soir, un atelier d’expression radiophonique est organisé par le GSARA asbl et La Fondation pour l’Assistance Morale aux Détenus à la prison de Haren. Les participants décident ensemble d’une question ou d’une problématique sur la vie quotidienne et les difficultés de l’enfermement carcéral, puis ils préparent l’enregistrement qui se réalise dans les conditions du direct. C’est une émission de débat entre les détenus sur leur condition de vie et l’univers carcéral. L’atelier à lieu une fois par semaine et nous enregistrons une émission par mois dans les conditions d’un direct (les contraintes de la prison ne permettent pas d’enregistrer en direct). Les participants, avec l’accompagnement de l’animateur décident ensemble d’un sujet ou d’une thématique à aborder, préparent l’émission, le contenu, la conduite, l’organisation puis enregistrent. La partie technique est aux mains de l’animateur (parfois avec le soutien d’un des participants). L’émission est donc un échange d’idées et de points de vue des participants sur un sujet particulier, choisi et décidé par eux-mêmes. Il y a des parties musicales. Souvent, un ou plusieurs participants souhaitent chanter, lire un texte ou proposer un choix musical. Ces éléments viennent ponctuer les différentes parties de l’émission. Les génériques (début et fin), les virgules sonores sont réalisées et enregistrées par les participants.

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Racismes / Colonialismes

Arpentage du livre « Entrer en pédagogie antiraciste. D’une lutte syndicale à des pratiques émancipatrices »

Organisé par école en lutte Lundi 21 avril de 14h à 17h Où ? Quartier Tivoli à Laeken Lecture pendant 1h puis discussion ensemble - objectif : faire des liens avec nos pratiques et partager des réflexions Inscription en écrivant à alice@bruxxel.org L’ouvrage « Entrer en pédagogie antiraciste » (2023) revient sur les outils proposés au cours des stages menés par la commission antiraciste du syndicat SUD Education 93, donnant ainsi accès à une ressource pionnière en la matière. Dans le discours de l’institution scolaire française, le racisme et la discrimination raciale sont tenus pour être des phénomènes parfaitement étrangers à l’ordre scolaire. Les analyses des rouages du racisme à l’école, développées entre autres par Nacira Guénif, Marwan Muhammad, Ugo Palheta, Myriam Cheklab ou Saïd Bouamama se mêlent à des contributions d’enseignantxes, de CPE, d’assistantxes d’éducation et de parents pour intégrer concrètement l’antiracisme aux méthodes d’apprentissage et d’accueil des élèves et de leur famille. Empruntant à la pensée de bell hooks, Amílcar Cabral, Élise et Célestin Freinet ou Paulo Freire, Entrer en pédagogie antiraciste met en avant une multiplicité de démarches guidées par le désir de prendre soin les unxes des autres pour faire de l’éducation une véritable pratique de liberté. En Belgique aussi les questions du racisme et de la discrimination raciale dans l’école font globalement l’objet d’un déni. Alors que les trajectoires scolaires restent fortement conditionnées par les origines sociales et migratoires, et que des acteurs de l’école continuent de véhiculer de nombreux stéréotypes, la nouvelle Ministre de l’Enseignement (MR), Valérie Glatigny, détourne l’attention des attaques antisociales portées contre l’école en alimentant des polémiques racistes et réactionnaires. Présentation du livre issue du site de l’édition Il n’y aura pas de spécialiste. L’idée est de se donner un temps collectif pour aborder une thématique de manière conviviale et faire des liens avec nos pratiques.

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Féminismes / Antipatriarcat

Balade féministe des Marolles

Balades féministes du printemps 2025 La collective Noms Peut-Être vous propose gratuitement sa balade féministe des Marolles, mettant en avant les femmes* qui ont marqué ce quartier hier et aujourd’hui ! Venez le (re)découvrir avec nous à la lumière des petites et grandes histoires de ce qui se cache derrière le nom du quartier, sur les murs et sur les pavés... Rendez-vous le dimanche 11 mai à 17h ou le mercredi 21 mai à 18h. Le parcours durera environ 2h. Les balades sont gratuites grâce à un subside de Equal Brussels Inscrivez-vous vite, elles sont rapidement complètes ! LA BALADE du 09 MAI EST COMPLETE, IL N’EST PLUS POSSIBLE DE S’INSCRIRE. Il reste encore des places pour les balades des 11 (17h) et 21 mai (18h). pour le 11 mai : https://forms.gle/c79goKbgJCjLRR5v8 pour le 21 mai : https://forms.gle/CJLvueiZcCmpYk7EA Nous vous enverrons ensuite l’adresse du lieu de rendez vous par mail. * Par « femmes », il est entendu toute personne qui a fait, fait ou fera l’expérience sociale d’être femme au cours de sa vie. Noms Peut-être est une organisation féministe sans but lucratif visant, en Région bruxelloise, à mettre en avant des femmes d’ici et d’ailleurs, dénoncer l’invisibilité des femmes dans l’espace public et dans l’Histoire et proposer des modèles inspirants à chacun·e. En plus de la balade des Marolles, Noms Peut-être a crée et anime une balade féministe à Ixelles, une dans le centre ville et une à vélo autour des statues de la ville. Venez arpenter la ville avec nous, partager des histoires de femmes [1] et de luttes, interroger l’espace public, les représentations et leur impact sur nos vies à tous·tes.

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Écologie

[Zine] CrashTest#4 ! + prépa #5

CRASH-TEST = Zine noir et blanc participatif à tendance anarco-punk, ouvert sur le monde.Automatic word wrap Le titre, le contenu, l’équipage... tout peut encore changer, c’est le principe du test , et tout peut s’arrêter, c’est le principe du crash. CRASH-TEST #4 44 petites pages en Noir et Blanc Où trouver Crash-Test ? PIY (Print It Yourself) Les liens vers le PDF sont ou seront bientôt disponibles ICI si vous souhaitez gérer des impressions, des distributions ou des ventes. Crash-Test#5 : SPORT On propose un thème et c’est « Sport ». Mais pas obligé d’être dans le thème non plus. Mais c’est plus marrant. Et tout ce qui est envoyez en retard sera publié en retard. DEADLINE de la recolte du contenu le 1er MAI PARTICIPER ? C’est cool d’envoyer des trucs le plus tôt possible, comme ça d’autre personnes pourront peut être ajouter des images ou peaufiner les mises en pages toussa. mag-a-zinne@proton.me Toujours à faire, encore à faire : Print It Yourself (cf plus haut) Distribuer, faire la promo du trucs, trouver de nouvelles personnes qui pourrait aimer prendre de la place dans ces pages. Envoyez vos conseils, critiques, retours pour orienter les crash dans un meilleur axe ou vers un autre mur. Envoyer vos propositions ou contributions ou thune pour la suite. Dite nous si vous souhaitez vous occuper d’une page en particulier ou d’une rubrique en particulier. Vous pouvez rejoindre le Comité Ré(d)actionnaire pour aider à la recherche de contenus, à la compilation et à la finalisation (mise en page, impressions etc). mag-a-zinne@proton.me Le formulaire de participation est aussi toujours utilisable si vous souhaitez rejoindre l’équipage (c’est une mailing-list) sans encore trop savoir quoi y apporter (les stages d’observation sont acceptés) :https://stuut.info/IMG/pdf/formulaire_candidaturev4-2.pdf

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Racismes / Colonialismes

Rencontre avec Sam Cohen - autrice de Sarahland

⚡⚡ 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐔𝐃𝐑𝐄, 𝐛𝐢𝐛𝐥𝐢𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐪𝐮𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐞𝐫 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐠𝐞́𝐫𝐞́𝐞 ⚡⚡ 𝐋𝐞 𝐥𝐮𝐧𝐝𝐢 𝟐𝟏 𝐚𝐯𝐫𝐢𝐥, 𝐥𝐚 𝐅𝐨𝐮𝐝𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐭𝐞 𝐒𝐚𝐦 𝐂𝐨𝐡𝐞𝐧 𝐚̀ 𝐥’𝐨𝐜𝐜𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞 𝑺𝒂𝒓𝒂𝒉𝒍𝒂𝒏𝒅 𝐞𝐧 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐒𝐚𝐫𝐚𝐡 𝐍𝐞𝐭𝐭𝐞𝐫 𝐚𝐮𝐱 𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐁𝐮𝐫𝐧 𝐀𝐨𝐮̂𝐭 ! 𝘚𝘢𝘳𝘢𝘩𝘭𝘢𝘯𝘥 est un ouvrage de fiction états-unien contemporain qui se découpe en dix nouvelles, toutes reliées par les personnages de Sarahs et leurs parcours initiatiques à la fin de l’adolescence. Sam Cohen, autrice queer et juive, déploie un univers drôle et piquant autour des notions d’identité, de transition, de transformation, d’émancipation et d’apprentissage. Née à Détroit aux États-Unis, Sam Cohen vit et travaille actuellement à Los Angeles. Elle est une autrice de fiction dont les romans explorent des thèmes à l’intersection du féminisme, des études queers, et des pensées juives. Après avoir publié dans différentes anthologies et revues littéraires (Queer Flora, Fauna, and Funga, Weird Sister Collection, etc.), elle publie en 2021 𝘚𝘢𝘳𝘢𝘩𝘭𝘢𝘯𝘥, un recueil de nouvelles, dont la version française sera éditée par les éditions Burn-Août. ⚡ Au programme de cette rencontre : Rencontre avec l’autrice, traducteurice, équipe de Burn-Août, lectures d’extraits, discussions autour des thématiques du livre (luttes queers, identités juives, antiracisme, adolescences, enfances, pop culture, réalisme fantastique), possibilité de se procurer le livre sur place et de customiser sa couverture avec le graphiste du livre Flo*Souad Benaddi. 𝗟𝗜𝗘𝗡 𝗗’𝗜𝗡𝗦𝗖𝗥𝗜𝗣𝗧𝗜𝗢𝗡 : https://urlr.me/4VxwMz Informations pratiques de l’évènement : 📅 Lundi 21 avril de 17h à 19h, ouverture du bar à 16h00 📍 Le Récif, avenue du Pont-Neuf, 4, 1000 Bruxelles 🗣️ L’évènement sera bilingue anglais / français 🚌 Transports en commun : à 260 m de l’arrêt Yser (métros 2 et 6, bus 45, tram 51), à 500 m de l’arrêt Rogier (métro 2 et 6, pré-métro 3 et 4, tram 25 et 55, bus 58, 61, et 88), à 500 m de l’arrêt Sainte-Catherine (métro 1 et 5). 💸 Événement sur inscription : https://urlr.me/4VxwMz 🥪 Boissons et snacks en vente au bar (paiement Payconiq ou cash, prix accessibles). ♿ Événement gratuit / Accès PMR (Entrée, Toilettes et Bar) / Parking vélo / Parking PMR sur demande / Chaises larges sans accoudoirs / Luminaires dimmables / Casques anti-bruit disponibles / Boucle auditive sur demande / Coin calme (sans accès PMR). 💬 N’hésite pas à nous contacter pour tout besoin spécifique. 🐣 Enfants bienvenu.e.s, envoie-nous un mail si besoin d’une garderie.

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Médias

[Brochure] La Maison du Peuple, Toulouse, mai 2023

La Maison du Peuple (MDP) du 1er Mai, c’est la quatrième MDP ouverte sur Toulouse. La précédente date de 2020-2021, elle avait fermé le cycle Gilets Jaunes. La MDP du 1er Mai 2023, c’est le squat du mouvement social contre la réforme des retraites. Pas n’importe où, à deux pas de la gare, dans l’épicentre. La MDP a été expulsée le 6 juin 2023 après des tirs de mortier sur les gendarmes qui rentraient de manif. 36 jours d’occup’, c’est court et intense. On va vous en raconter quelques moments. Préface Pour certain.es, l’histoire commence à la gare. Il y a plein de gens qui attendent leur train et entendent parler de l’ouverture du lieu, et qui viennent voir. Certain.es repartent prendre leur train et pour d’autres, il y un gros dilemme : il y a une méga-ambiance ici. Alors ils vont rester avec nous parce qu’ils ont ce sentiment qu’ici il va se passer des dingueries, il est temps de changer ses plans et de vivre ici et maintenant. On veut pas d’un texte lisse où tout va dans le même sens. Parce que construire ce récit nous fait comprendre, nous rencontrer, revenir sur les moments les plus difficiles et se soutenir, faire perdurer les liens, pour continuer à s’organiser. Parce qu’on ne veut pas oublier. Communiqué 1 À la suite de la manifestation du 1er mai 2023 [à Toulouse], rien ne s’arrête, une maison du peuple est ouverte 62 boulevard Pierre Semard ! À quelques pas de la gare sur un des sites pressentis pour la Tour Occitanie. Des infos contradictoires tournent : « suivre le bruit des casseroles ! » et des rdv sont donnés pour après la manif. Mais il y a des casseroles de partout et il n’y a pas de fin à la manif. Les affrontements sur le boulevard sont intenses, un camion de police est nassé et chahuté, les flics reçoivent des émulsions joyeuses, cacatovs et autres réjouissances. Le cortège est coupé en deux par la police, les lacrymos ne font pas peur, les gens sont équipés et les renvoient. Une barricade enflammée bloque la direction du bâtiment qu’on veut ouvrir, on est dépassés par la spontanéité, les gens appellent à rester à Jean Jaurès. Des rassemblements annexes à la manif réussissent à se composer et à converger en direction du bâtiment. Par hasard, la manifestation sauvage remonte les allées Jean Jaurès dans la même direction. Un cordon de CRS se retrouve sur le trottoir en face du bâtiment qu’on veut ouvrir, leur but peut être d’empêcher la sauvage de Jean Jau d’atteindre la gare. Mais la 2e sauvage arrive par un autre angle. Les CRS, pris en étau, ne savent plus où gazer parce que toute action peut se retourner contre eux. Et là, un culot de ouf, on avance malgré leur présence, la porte du bâtiment est ouverte de l’intérieur et tout le monde rentre dans l’ancien local des cheminots. Victoire, la maison du peuple est à nous ! Curieux.ses, les manifestant.es visitent un bâtiment labyrinthique et se l’approprient spontanément. Un drapeau rouge est planté sur le toit. Des tags et banderoles ornent déjà les murs du...

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Féminismes / Antipatriarcat

Dialogues sur la justice transitionnelle et la mémoire en Colombie et au Pérou dans la perspective de la recherche engagée

Diana Gómez Correal et Goya Wilson Vásquez discutent, à partir de leurs livres « De l’amour, du sang et de l’utérus : la politisation des liens familiaux et la gestation d’une paix transformatrice en Colombie » (2024) et « Apprendre à travers le travail de mémoire collective : problématiser le témoignage dans le Pérou d’après-guerre » (2025), du déploiement de la justice transitionnelle dans les deux pays et des luttes des mouvements sociaux pour rendre visibles les formes de violence pasées sous silence et contribuer, de manière particulière à chaque contexte, à des projets de changement par le travail de mémoire. Ce dialogue s’inscrit dans le cadre de la campagne Avril en mémoire, un effort des groupes latino-américains visant à mettre en lumière la violence d’État au XXe siècle dans la région et à réfléchir à ses spécificités et à sa persistance. En avril, dans Mémoire, nous discutons des possibilités du présent en Colombie et au Pérou, à partir de l’expérience située des chercheurs. Jimena Reyes, directrice de la FIDH pour les Amériques et avocate au Barreau de Paris, et Rafael Salgado, membre de HIJXS au Pérou et auteur de « Des silences et autres bruits, mémoires d’un enfant de la guerre », seront présents pour commenter. Diana Gómez Correal est titulaire d’un doctorat en anthropologie de l’Université de Caroline du Nord aux États-Unis et est une féministe décoloniale. Elle a mené des recherches sur la justice transitionnelle, les mouvements sociaux et le genre. Elle a été nommée première femme vice-ministre des Femmes en Colombie. Depuis 2006, elle fait partie de Fils et Filles pour la Mémoire et Contre l’Impunité. Goya Wilson Vásquez est péruvien-nicaraguayen et titulaire d’un doctorat en éducation de l’Université de Bristol. Elle étudie les luttes de mémoire et les méthodologies créatives/radicales en Amérique latine, les intersections entre la recherche et l’activisme, et les utilisations de la créativité/imagination dans le travail de mémoire. Il est membre du collectif HIJXS du Pérou.

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Médias

[Brochure] Comment la police interroge et comment s’en défendre

Privilégier le texte en format pdf à lire sur l’écran : Comment la police interroge et comment s’en défendre - version page par page 96 pages A5 à lire sur l’écran ou à imprimer en format livret. Un interrogatoire n’est pas un échange harmonieux et égalitaire entre deux individus. C’est un conflit. Introduction Comprendre pour se défendre Notre ignorance fait leur force. Cette phrase résume parfaitement ce sur quoi se base un interrogatoire de police : sur notre ignorance. Ignorance sur le sens du travail de la police, ignorance sur les techniques de manipulation utilisées, ignorance sur le cadre juridique et enfin ignorance sur nos moyens de défense. Un interrogatoire n’est pas un échange harmonieux entre deux individus se plaçant dans un rapport d’égalité. C’est un conflit. Contrairement à un conflit physique où une personne utilise sa force pour attaquer l’autre, dans un interrogatoire la police exploite tes propres faiblesses pour les retourner contre toi et t’attaquer avec. Ce sont les informations livrées par la personne elle-même qui permettront à la police et à la Justice de la frapper – en aiguisant leurs stratégies et manipulations pour des futurs interrogatoires ou sous forme de preuves et d’indices devant un tribunal. On touche ici à un point central pour comprendre comment se défendre : pour mener à bien son travail, la police a besoin de la participation de la personne interrogée. Avec le temps, j’ai fait un constat ; la majorité des personnes qui livrent des informations permettant à la police de faire son travail ne se considèrent pas elles-mêmes comme des « balances ». Bien plus, ils·elles pensent n’avoir rien dit d’important, avoir parlé uniquement d’elles·eux-mêmes, n’avoir eu rien à se reprocher ou même avoir réussi à berner la police en mentant. C’est là tout le propos de cet ouvrage : la meilleure défense lors d’un interrogatoire de police est de refuser d’y participer en gardant le silence. C’est un propos que je vais répéter souvent dans les pages qui suivent, mais c’est un propos qui a besoin d’être répété encore et encore. Car en face, la police dispose de tout un arsenal de techniques et de stratégies de manipulation pour exploiter tes faiblesses, de possibilités d’enfermement à travers les gardes à vue et détentions provisoires pour t’épuiser et te fragiliser. À cela s’ajoute une culture populaire où l’on intériorise que l’on DOIT répondre quand la police, figure d’autorité, pose des questions. « Pour mener à bien son travail lors de l’interrogatoire, la police a besoin de la participation de la personne interrogée. » Avant de continuer, un avertissement Ce livre n’est pas pensé pour être un guide juridique. Il s’adresse à un public de différents pays où les législations ne sont pas toujours les mêmes. Toutefois, ces différences juridiques n’affectent que très peu le contenu que je transmets et n’influencent en rien son propos. Les mécanismes et stratégies d’interrogatoire développés par...

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Extrême-droite / Antifascisme

[France] Enquête inter-collective sur l’UNI : une organisation fasciste !

À partir d’un retour sur l’histoire de l’UNI et d’enquêtes sur plusieurs sections locales de cette organisation étudiante, voici le bilan réalisé par 10 groupes antifascistes. Multiples saluts nazis, actions avec des organisations fascistes et membres en commun, organe de formation de cadres pour les partis d’extrême-droite, l’UNI est bien une organisation fasciste. À nous d’éradiquer l’épidémie : rejoignons les initiatives anti-fascistes ou créons-en ! L’UNI : qu’est-ce que c’est ? L’UNI (Union Nationale Inter-universitaire) naît en 1969 pour contrer la subversion émancipatrice de mai 68, en se définissant idéologiquement comme gaulliste d’ordre, une position conservatrice et antimarxiste. Financée par Pompidou, soutenue par Charles Pasqua, et appuyée par le Service d’Action Civique (SAC, milice gaulliste responsable de plusieurs dizaines d’assassinats politiques), l’UNI compense ses débuts difficiles par des actions violentes dans les facs aux côtés des néonazis du GUD (Groupe Union Défense). Dans les années qui suivent, l’UNI se lie toujours plus avec l’Extrême-Droite (ED) en se rapprochant du Parti des Forces Nouvelles (néofasciste) ainsi que du Front National. L’UNI tient des positions réactionnaires, s’opposant notamment à la légalisation de l’avortement, au pacte civil de solidarité (PACS) pour les homosexuel·les et en soutenant la réforme des retraites de 2003 et 2010. Plus récemment, des militant·es de l’UNI quittent l’orga car trop modérée et fondent la Cocarde étudiante, association d’extrême-droite. L’UNI se mobilise aussi contre le mariage pour toustes aux côtés de l’Action Française (AF, parti royaliste antisémite), Civitas (parti catholique intégriste), du GUD et des Jeunesses Nationalistes (pétainistes). Malgré ses origines gaullistes revendiquées, l’UNI n’a cessé de militer aux côtés de l’ED, leur cédant parfois même des adhérent·es frustré·es par la vitrine de droite libérale que l’organisation tente de conserver. Par ses revendications éloignées des problèmes étudiants et véhiculant des messages racistes, islamophobes, anti-féministes et élitistes/classistes, ou par son rôle dans la formation des cadres des partis d’ED, son positionnement et les liens qu’elle entretient en font une organisation fasciste à combattre à l’intérieur comme à l’extérieur du milieu étudiant. Ce texte est un bilan réalisé par dix groupes antifascistes qui ont fait un travail d’enquête sur leur section locale de l’UNI. Pour plus de détails, voir les enquêtes plus approfondies et les comptes instagram de chaque collectif, qui sont indiqué·es à la fin. Angers : UNI et Ultime Rempart A Angers, les « syndicalistes » autoproclamé·es de l’UNI ont organisée leur réunion de rentrée au bar Les Variétés, qui accueille aussi le RN, le RNJ, SOS Calvaire (cathos nationalistes), Chantons (Ex-Canto) et Ultime Rempart (UR, fafs défenseurs du patrimoine). En ce qui concerne leur communication officielle : collages islamophobes et (...)

Ailleurs Ailleurs |

19 juin - 18h00 - Fédération des maisons médicales

Répétition chorale militante

Depuis septembre, une fois par mois (3e jeudi du mois), on se retrouve pour chanter en vue d’aller le faire dans la rue lors de diverses actions. On a déjà répété 3Bread and roses« »El Pueblo« , l’ »hymne des femmes", ... Après la répèt, on discute en partageant de la soupe. tu veux nous rejoindre ? Prochaine dates : 17 avril ; 15 mai et 19 juin 2025 de 18h à 21h Contact : emeline.goris@fmm.be Chanter pour militer, militer pour chanter… ça vous parle ? Retrouvez ici tous les rendez-vous de la chorale militante des maisons médicales. Objectif : créer un espace de rencontres et création autour du chant pour faire entendre nos voix dans l’espace public. Nous proposons des rencontres mensuelles avec une vraie cheffe de chœur. Rendez-vous Envie de nous rejoindre ? Les prochaines répétitions auront lieu les jeudis 17 avril ; 15 mai et 19 juin 2025, avec un moment d’organisation pratique et politique autour nos luttes. Accueil à 18h et clôture autour d’un bol de soupe et de pain vers 21h. ans les locaux de la Fédération : boulevard du Midi 25 bte 5 – 5e étage, 1000 Bruxelles. 💌 Pour confirmer votre participation, c’est auprès de Emeline (emeline.goris@fmm.be). Faites passer le mot à vos patient.e.s, collègues et proches ! Pour vous y aider, voici une affiche décrochable, à imprimer et à afficher partout où ça vous semble pertinent.

Bruxelles Bruxelles | Économie / Anticapitalisme |
Résistances et solidarités internationales

Arpentage « Les Peuples Veulent » Manifeste internationaliste – révolutions de notre temps

Quand ? le mardi 22 avril de 13h30 à 17h30 Où ? au Steki – rue Gustave Defnet 6, 1060 Saint-Gilles « Nous pourrions ne retenir de notre époque que les images de son effondrement en cours. […] Nous pourrions retenir de ce début du siècle que les peuples sont revenus frapper à la porte de l’Histoire. » Né de rencontres internationales débutées en 2019, Les Peuples Veulent réunit des collectifs, des organisations, des lieux et des personnes du monde entier qui se sont retrouvées pour construire une pratique internationaliste adaptée à notre temps. Un internationalisme pas le bas qui se concentre sur les intérêts des peuples et non ceux des Etats. Un internationalisme qui promeuve la solidarité et l’entraide entre celles et ceux qui sont en lutte, jusqu’au coeur des périodes de crise, de guerres ou de soulèvements. À l’occasion de la sortie de leur manifeste, Mycélium vous invite à l’arpentage de cet ouvrage collectif le mardi 22 avril, de 13h30 à 17h30 au Steki (Rue Gustave Defnet 6, 1060 Saint-Gilles). Venez parcourir ce livre et réfléchir ensemble à comment résister, construire et combattre sur nos territoires et nos quartiers, pour nous permettre d’apprendre de nos révoltes, de nos succès et de nos échecs, de nous relier et de nous organiser. Inscriptions : par ici : https://cloud.mycelium.cc/apps/forms/s/FNR4XMKCYajFS3nwE5dTHD3R Cet arpentage prend place la veille d’une rencontre publique de présentation du livre à la librairie Par Chemins, le 23 avril au soir, en présence de personnes des Peuples Veulent. En savoir plus sur les Peuples Veulent : https://thepeopleswant.org/fr

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Écologie

Révolutions de notre temps. Manifeste internationaliste.

Mercredi 23 avril à 20h, nous accueillons la coalition internationale de collectifs Les Peuples veulent qui présentera un ouvrage commun Révolutions de notre temps. Manifeste internationaliste . Participeront à cette rencontre, qui se veut un moment de liaison, à partir d’expériences locales, entre des enjeux partagés et des perspectives internationalistes à construire : * Sur Territoria, collectif écoféministe chilien , * le collectif Roja composé d’exilé.es iranien.nes, afghan.es en France, * le collectif Ancrages qui anime notamment une librairie autogérée à Nancy, * le média révolutionnaire franco-soudanais Sudfa * le groupe international du syndicat de la Montagne Limousine . « Au Sri Lanka, au Chili ou en Ukraine, pour que le soulèvement aille plus loin, il aurait fallu affronter l’incertitude de savoir comment se nourrir, où se procurer du carburant ou des médicaments, mais aussi comment se défendre face à une agression militaire étrangère. Pour savoir comment survivre puis vivre, il aurait fallu répondre à des questions d’échelles qui pour l’heure dépassent les insurgé·es : que faire des institutions étatiques, des organisations internationales, de l’armée ou de la dette extérieure ? Comment surmonter les obstacles sans contracter de nouvelles dépendances ? Comment tenir sur le temps long malgré l’épuisement, malgré les besoins bien réels de se soigner, de reconstituer nos forces ? L’histoire nous a appris que les compromis conduisent souvent à des concessions, c’est-à-dire à des variations du même, et non à des alternatives. Mais alors, comment continuer à se battre sans tomber dans l’abîme ? » Les Peuples veulent, Révolutions de notre temps. Manifeste internationaliste, p.26

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Guerre / Antimilitarisme

Quartier Monde : Palestine. Soirée à la Maison de Quartier Saint-Antoine

| ! La soirée se déroule à la Maison de Quartier Saint-Antoine (Rue de Fierlant 2, à Forest). La librairie participe avec une table de livres. La Maison de Quartier Saint-Antoine et le BRASS proposent pour cette soirée « Quartier Monde » une discussion autour de la Palestine.Nous accueillons : Tamam Abusalama, militante palestinienne. Michel Staszewski, historien et auteur du livre Palestiniens et Israéliens : dire l’histoire, déconstruire mythes et préjugés, entrevoir demain. Ainsi que Marianne Blume, militante membre de l’ABP (association belgo-palestinienne) qui a vécu 10 ans à Gaza. La discussion sera animée par Stéphanie Koplowicz. Des textes seront lus au fil de la soirée par Line Guellati. On clôturera avec un repas proposé par l’asbl Héritage des Femmes. Les bénéfices du repas seront directement reversés à l’association qui s’occupe de familles palestiniennes arrivées récemment à Bruxelles (logement, nourriture, soins etc…). Une cagnotte sera également ouverte pour recevoir vos dons. ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Quartier Monde est un cycle de rencontres et de spectacles proposés aux habitants et habitantes de Forest (et au monde entier qui a envie de venir !). Il s’agit de moments pour comprendre les événements qui ont lieu loin de notre quartier mais qui nous affectent pour autant directement.

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