Bruxelles

Écologie

Festival de soutien au 1er Mai Revolutionnaire 2025

Dans le cadre du mois d’Avril Agitation, l’alliance du 1er Mai Révolutionnaire a le plaisir de vous dévoiler le programme du festival de soutien au 1er Mai Révolutionnaire 2025, qui se tiendra le 26 avril à partir de 15h au Garcia Lorca. Ce sera une journée riche en rencontres, en échanges et en énergie collective. L’occasion parfaite de se retrouver, de s’organiser et de célébrer nos luttes dans une ambiance festive et combative. Venez nombreu·x·ses, ça va être le feu Rejoins-nous au festival de soutien au 1er Mai Révutionnaire 2025 ! Rendez-vous le samedi 26 avril, au Garcia Lorca ; dès 14h, des tables rondes, des projections et des débats viendront nourrir nos réflexions collectives sur les luttes en cours et les perspectives révolutionnaires. Puis, à partir de 21h, place aux concerts pour faire vibrer nos colères et renforcer nos solidarités. Une journée pour s’organiser, se retrouver, et faire front ensemble dans un esprit de résistance ! TABLES RONDES - PROJECTIONS 15h Palestine - Evolution du mouvement en Europe Avec Samidoun, Popular Comitée for Palestine, Anti-Zionist Jewish Alliance Belgium et Tom Martin (Militant anti-imperialiste) 16h15 Documentaire “La lutte AUDI” Produit par ZinTV (Média d’action collective engagé) 17h Militarisation et rearmement de l’Europe Avec D.Brosteaux (autrice du livre "Les désirs gerriers de la modernité"), C.Wasinski (politologue à l’ULB), OCR (Organisation Communiste Révolutionnaire, AACW (Anarchist Against Capitalist Wars) 18h Plateau Radio - Collective Tuba x Korendrari Émission live 19h30 Réformisme et réformistes Avec Classe Contre Classe (organisation révolutionnaire Bruxelles) CONCERTS 21h ROBIN BONENFANT + NADJAD + JOHARA + RAISSA YOWALI (SLAM) 22h SAUVAGES (HARDCORE) 23h BETON PLAGE (CINEMATIC PUNK) 24H DJ de FEU

Bruxelles Bruxelles |
Extrême-droite / Antifascisme

Chronique d’une occupation : 1 an après

Réflexion autour de nos luttes à travers l’article « Intifada étudiante de mai 2024 » Au Kodacafebar Rue du Monténégro 44 à Saint-Gilles 1060. Un an après le début de l’occupation du bâtiment Walid Daqqa sur le campus de l’ULB et de la création de l’Université Populaire de Bruxelles dans un contexte d’intensification du génocide mené en Palestine ... et à une semaine du premier mai révolutionnaire, un atelier de réflexion autour des moyens de résistance à notre échelle est hébergé à Koda. On réfléchira à dire quelle place la créativité a dans nos luttes pour échapper à la capture idéologique ? Comment contextualiser à travers des territorialités l’action politique et quels sont les enjeux sous-jacents ? Créer et penser la résistance à partir de nouveaux agencements collectifs d’énonciation. Ces concepts et problématiques sont des points de départ ouverts, des lieux que l’on quitte ou que l’on retrouve pour mieux amorcer un échange commun autour des questionnements qui animent nos luttes et afin d’ouvrir des multiplicités politiques subversives. Nous prendrons appui sur un article paru dans LundiMatin (lien plus bas). Les auteurs sont présents pour exposer les principaux concepts du texte et lancer la réflexion. Si ça te dit, tu peux venir avec un texte, des images susceptibles d’alimenter la réflexion (à envoyer avant la date de l’événement à rhizomechimerique@proton.me pour pouvoir l’exposer en veillant à l’anonymisation). La librairie et maison d’édition Météores sera présente à l’événement et un exemplaire actualisé et augmenté de l’article sera fourni à chaque participant•es à l’entrée. L’entrée est à prix libre (l’argent collecté sera reversé au fond de soutien de l’UPB, auquel tu peux aussi faire un virement sur le compte hébergé par la fondation Marius Jacob : BE65 5230 8110 3896 avec la communication : FONDS SOLIDAIRE). L’événement ne sera ni filmé, ni enregistré, ni photographié pour garantir la sécurité de tous•tes. Lien vers l’article : https://lundi.am/Zerrouky-Madjid-Mas-Liselotte-A-Gaza-les-cimetieres-ne-sont-pas-epargnes-Le

Bruxelles Bruxelles |
Extrême-droite / Antifascisme

Enquête : la brigade cycliste de Bruxelles Capitale Ixelles au cœur de nombreuses affaires de violences policières ?

En novembre dernier, nous avons lancé un appel à témoignages sur les violences policières attribuées à la brigade cycliste de la police de Bruxelles Capitale Ixelles. Après une enquête approfondie et de nombreux récits recueillis, nous publions aujourd’hui un article exclusivement consacré à ces abus. Depuis 2003, la zone de police de Bruxelles Capitale Ixelles s’est munie d’une brigade cycliste. La création de cette brigade a, selon les forces de l’ordre, pour but de renforcer les dynamiques de proximité entre policier·es et habitant·es tout en se consacrant principalement à la réglementation des flux routiers. Cependant, la réalité est toute autre, car il semblerait que la brigade cycliste soit coutumière des violences policières. De manière générale, il est ressorti des différents témoignages que les membres de la brigade cycliste ont eu un usage particulièrement important et régulier de la violence dans le cadre de manifestations. Les témoignages que nous avons reçus font allusion à des faits qui se sont déroulés dans le cadre de la manifestation contre les violences sexistes et sexuelles le 26 novembre 2023, dans le cadre du mouvement pro-palestinien en face de l’ambassade américaine le 31 mai dernier, à la Grand-Place de Bruxelles le 24 juillet 2024 toujours dans le cadre du mouvement palestinien et finalement lors de la manifestation contre la venue de Jordan Bardella le 13 novembre dernier. L’ensemble des faits décrits dans cet article se sont déroulés sur la zone de police de Bruxelles Capitale Ixelles, mais il est probable que des brigades cyclistes d’autres zones de police soient venues en renfort lors de diverses manifestations. Elles seraient alors aussi concernées par ces faits de violences policières. Nos vérifications, basées sur les témoignages reçus, confirment que des policiers à vélo de la zone de Police de Bruxelles Capitale Ixelles ont bien été reconnus à la fois lors de la pratique quotidienne de leur fonction de « policier à vélo » et aussi au moment de violences policières lors de manifestations. Nous pouvons aussi identifier que ces policiers sont bien membres de brigades de police locale par la présence de lignes bleues et bleu clair qui sont présentes à la fois sur leurs uniformes et sur leurs vélos. Cette brigade, qui serait à minima constitué de 53 policier.es à vélo a, à de nombreuses reprises, été ciblée par des plaintes concernant des violences policières. Parmi les membres de la brigade, les témoignages que nous avons reçus nous ont permis d’identifier une série de policier.es qui ont été violents physiquement lors de l’exercice de leurs fonctions. Un policier avec une corpulence assez forte, une barbe et des cheveux de couleur rousse, a été systématiquement décrit comme étant « particulièrement violent ». Les méthodes de la brigade cycliste de Bruxelles Capitale Ixelles sont loin du narratif politique et policier La zone de police de Bruxelles Capitale Ixelles est loin d’être la seule...

Bruxelles Bruxelles |
Santé / Soins

Formation Culture de Paix

Tracer des chemins pour la paix ? La militarisation de nos sociétés se déroule désormais au grand jour et à pas accéléré. La guerre est présentée comme le seul horizon. Un narratif qui est supposé souder les Européen·nes dans une culture de guerre. « Où sont les défenseur·es de la paix, les cultivateur·ices d’un avenir ? », semblent demander quelques rares voix hésitantes, peut-être encouragées par la très grande majorité sidérée et silencieuse. Ces voix ignorées et méprisées en période de non-guerre, pointées comme frein à l’unité sacrée en période de crise, pillées quand le doute vient heureusement à nouveau fracturer le conformisme, l’unanimisme belliciste, le solutionnisme violent. Ces voix, nos voix, sont inaudibles dans des contextes où la réaction est diffusée à la vitesse grand V des réseaux, amplifiés par l’artifice technologique et la hiérarchie des algorithmes des seuls puissants. Une seule salve d’un instant peut détruire – en apparence et matérialité ! – ce que des générations construisent patiemment. C’est le cas de la Paix, de l’idée même de la Paix. C’est donc maintenant que les tranchées sont creusées que nous devons vitaminer notre esprit, qui nous souffle de ne pas y sauter. Cette « autoformation » propose de penser ensemble notre autodéfense. De nourrir une stratégie pour tracer avec d’autres, avec force, des voies de paix et d’avenir. Pas de grand sermon pacifiste. Cette formation, c’est aussi l’occasion de rouvrir nos cicatrices mal suturées, de plonger les mains dans ce qui fait mal, pour réparer, soigner, et avancer. D’explorer les critiques qui nourrissent, d’imaginer, de construire. Il nous faudra convoquer les savoirs utiles —ceux qui gênent autant que ceux qui nourrissent. Il nous faudra faire face à l’animosité puissante de celleux qui s’enlisent dans la pente glissante de la guerre. Il nous faudra lutter contre le préjugé qu’on nous prête si aisément, celui de la passivité, de la naïveté, de la complicité du mal. Il nous faudra penser le présent à la lumière du passé, faire des choix, inventer des chemins. Et surtout, il nous faudra transmettre, vers d’autres moins convaincus, qu’il est nécessaire de ne jamais encourager la guerre mais bien de cultiver la paix. Nous ne sommes pas obligé·es de réussir. Nul·le n’a besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. Mais osons. Bon, ben, allons-y alors ? Oui, c’est bien beau tout ça, mais concrètement ? Quoi ? Un module de deux journées (engagement d’être présent·e les deux jours !) Quand ? Le vendredi 25 avril (de 9h à 16h) ET le vendredi 13 juin (de 9h à 16h) Pour qui ? Pour une quinzaine de participant·es : militant·es, activistes, penseur·es, citoyen·nes informé·es, … éducateurices de la Paix, pensée comme concept crucial. Modalités ? Participation gratuite (avec sandwich du midi compris !) Des finalités et des objectifs ? Sensibiliser et mobiliser autour de l’action non-violente pour la Paix, tout en la...

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

STOP ADOPTION INTERNATIONALE

Atelier entre personnes adopté·es racisé·es Mercredi 23/04 14:00 > 17:00 La Bellone Selam, Bonjour à touxtes, LA STATION SAADA vous invite à rejoindre le mouvement international porté par des personnes adopté·e·s pour l’abolition de l’adoption internationale. Le mercredi 23 avril 2025, Lucile Saada proposera un atelier destiné aux personnes adopté·e·s racisé·e·s. Elle partagera des textes, des sons et des images issues de sa résidence d’écriture à Addis-Abeba, Ethiopie (février 2025). Comment développer une recherche esthétique au-delà du récit de soi ? Comment sortir des assignations du regard blanc occidental assoiffé du narratif de retour aux origines ? Comment construire une poétique singulière et émancipée dans le bruit des attendus coloniaux ? Enfin, quand les voies diasporiques s’écrivent sans les adopté·x·s, comment tracer une brèche collectivement ? LA STATION SAADA : espace artistique itinérant dirigé par Lucile Saada CHOQUET (elle/adoptée) Quelques mots sur « QUI ADOPTE QUI » ? Qui adopte qui ? est une recherche artistique qui se présente comme une (en)quête d’amour & de justice, depuis l’expérience d’une adoptée transraciale et transnationale. Je m’appelle Lucile Saada Choquet, je suis née à Djibouti de parents éthiopiens, je vis et je travaille en Europe. En octobre 2022, je fais le coming out d’une condition invisible, je transforme la honte d’être noire et adoptée en sujet de recherche. Je décide alors d’écouter le hurlement intérieur et d’enquêter sur ma colère contre le narratif dominant et romantisé de l’adoption internationale. Durant deux années de recherche j’écris, j’atteste de la colonialité, des pratiques illicites et des abus qui sous-tendent le système de l’adoption internationale pour rendre symboliquement justice aux vécus des personnes adopté·es. A qui profite le système de l’adoption internationale ? Au service de quel projet politique ? Je ne cesse de questionner et de décrypter ce qui permet de reproduire la violence capitaliste. Je cherche comment, depuis la mémoire du corps-archive(s), représenter ce que l’adoption internationale fait aux corps des personnes adoptées racisées. Comment créer à travers l’usage des arts performatifs des imaginaires non hégémoniques ? A partir de l’écriture du réel et de la mémoire d’un corps dépossédé, déplacé, approprié, comment déplier une théâtralité du chaos ? Je développe une dramaturgie en associant des approches littéraires, scientifiques, militantes, historiques et personnelles. En organisant des rencontres non-mixtes avec des adopté·es, je contribue à la transmission collective des savoirs empiriques et je nourris mes questionnements liés au faire famille et à la recherche d’une diaspora composée d’adopté·es. Au plaisir de vous voir nombreux·ses ! Chaleureusement, La STATION SAADA Atelier entre personnes adopté·es racisé·es (12 places) Mercredi 23/04 14:00 > 17:00 Rue de Flandre 46 - 1000 Bruxelles...

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

Arpentage du livre « Entrer en pédagogie antiraciste. D’une lutte syndicale à des pratiques émancipatrices »

Organisé par école en lutte Lundi 21 avril de 14h à 17h Où ? Quartier Tivoli à Laeken Lecture pendant 1h puis discussion ensemble - objectif : faire des liens avec nos pratiques et partager des réflexions Inscription en écrivant à alice@bruxxel.org L’ouvrage « Entrer en pédagogie antiraciste » (2023) revient sur les outils proposés au cours des stages menés par la commission antiraciste du syndicat SUD Education 93, donnant ainsi accès à une ressource pionnière en la matière. Dans le discours de l’institution scolaire française, le racisme et la discrimination raciale sont tenus pour être des phénomènes parfaitement étrangers à l’ordre scolaire. Les analyses des rouages du racisme à l’école, développées entre autres par Nacira Guénif, Marwan Muhammad, Ugo Palheta, Myriam Cheklab ou Saïd Bouamama se mêlent à des contributions d’enseignantxes, de CPE, d’assistantxes d’éducation et de parents pour intégrer concrètement l’antiracisme aux méthodes d’apprentissage et d’accueil des élèves et de leur famille. Empruntant à la pensée de bell hooks, Amílcar Cabral, Élise et Célestin Freinet ou Paulo Freire, Entrer en pédagogie antiraciste met en avant une multiplicité de démarches guidées par le désir de prendre soin les unxes des autres pour faire de l’éducation une véritable pratique de liberté. En Belgique aussi les questions du racisme et de la discrimination raciale dans l’école font globalement l’objet d’un déni. Alors que les trajectoires scolaires restent fortement conditionnées par les origines sociales et migratoires, et que des acteurs de l’école continuent de véhiculer de nombreux stéréotypes, la nouvelle Ministre de l’Enseignement (MR), Valérie Glatigny, détourne l’attention des attaques antisociales portées contre l’école en alimentant des polémiques racistes et réactionnaires. Présentation du livre issue du site de l’édition Il n’y aura pas de spécialiste. L’idée est de se donner un temps collectif pour aborder une thématique de manière conviviale et faire des liens avec nos pratiques.

Bruxelles Bruxelles |
Féminismes / Antipatriarcat

Balade féministe des Marolles

Balades féministes du printemps 2025 La collective Noms Peut-Être vous propose gratuitement sa balade féministe des Marolles, mettant en avant les femmes* qui ont marqué ce quartier hier et aujourd’hui ! Venez le (re)découvrir avec nous à la lumière des petites et grandes histoires de ce qui se cache derrière le nom du quartier, sur les murs et sur les pavés... Rendez-vous le dimanche 11 mai à 17h ou le mercredi 21 mai à 18h. Le parcours durera environ 2h. Les balades sont gratuites grâce à un subside de Equal Brussels Inscrivez-vous vite, elles sont rapidement complètes ! LA BALADE du 09 MAI EST COMPLETE, IL N’EST PLUS POSSIBLE DE S’INSCRIRE. Il reste encore des places pour les balades des 11 (17h) et 21 mai (18h). pour le 11 mai : https://forms.gle/c79goKbgJCjLRR5v8 pour le 21 mai : https://forms.gle/CJLvueiZcCmpYk7EA Nous vous enverrons ensuite l’adresse du lieu de rendez vous par mail. * Par « femmes », il est entendu toute personne qui a fait, fait ou fera l’expérience sociale d’être femme au cours de sa vie. Noms Peut-être est une organisation féministe sans but lucratif visant, en Région bruxelloise, à mettre en avant des femmes d’ici et d’ailleurs, dénoncer l’invisibilité des femmes dans l’espace public et dans l’Histoire et proposer des modèles inspirants à chacun·e. En plus de la balade des Marolles, Noms Peut-être a crée et anime une balade féministe à Ixelles, une dans le centre ville et une à vélo autour des statues de la ville. Venez arpenter la ville avec nous, partager des histoires de femmes [1] et de luttes, interroger l’espace public, les représentations et leur impact sur nos vies à tous·tes.

Bruxelles Bruxelles |
Urbanisme / Transports

Chasse au trésor sur la réappropriation de l’espace public (FR/IT/ENG)

La Chasse au trésor à travers Bruxelles de Casi-Uo revient pour une 4e édition en Francais/Anglais/Italien ! FR (IT & EN dessous/below) La Chasse au trésor à travers Bruxelles revient pour une 4e édition ! Envie de t’amuser dans une compétition épique dans notre ville ? Envie de faire des rencontres tout en découvrant des associations et des initiatives locales ? La participation est gratuite (une contribution libre est bienvenue à la fin du jeu – 5€ par joueur conseillé). 🎉 Un apéro vous attend à l’arrivée ! 🎯 Les inscriptions sont ouvertes ! Vous pouvez déjà vous inscrire en solo ou en équipe sur 👉 gaiahunt.com/caccia-au-tresor Le règlement complet est disponible sur le site. Voici les infos pratiques : 🗓️ Dimanche 18 mai 2025 🕓 De 11h30 à 17h30 📍 Point de départ : Parc Royal IT Torna con una 4° edizione la Caccia al tesoro in tutta Bruxelles ! Vuoi divertirti in una competizione epocale nella nostra città ? Vuoi fare amicizia scoprendo associazioni e realtà interessanti ? La partecipazione è gratuita (offerta libera gradita alla fine del gioco, consigliata 5€ per giocatore). 🎉 Un aperitivo al traguardo ! 🎯 Iscrizioni aperte ! Potete già iscrivervi da sol* o in squadra su 👉 gaiahunt.com/caccia-au-tresor Il regolamento completo è nel sito. Ecco le info pratiche : 🗓️ Domenica 18 maggio 2025 🕓 Dalle 11:30 alle 17:30 📍 Luogo di partenza : Parc Royal EN The Treasure Hunt across Brussels is back for its 4th edition ! Want to have fun in an epic competition through our city ? Want to make new friends while discovering cool associations and local initiatives ? Participation is free (a voluntary donation is welcome at the end of the game – we suggest €5 per player). 🎉 An aperitif awaits you at the finish line ! 🎯 Registrations are open ! You can already sign up solo or as a team at 👉 gaiahunt.com/caccia-au-tresor The full rules are available on the website. Here are the practical details : 🗓️ Sunday, May 18, 2025 🕓 From 11:30 a.m. to 5:30 p.m. 📍 Starting point : Parc Royal

Bruxelles Bruxelles |
Écologie

[Zine] CrashTest#4 ! + prépa #5

CRASH-TEST = Zine noir et blanc participatif à tendance anarco-punk, ouvert sur le monde.Automatic word wrap Le titre, le contenu, l’équipage... tout peut encore changer, c’est le principe du test , et tout peut s’arrêter, c’est le principe du crash. CRASH-TEST #4 44 petites pages en Noir et Blanc Où trouver Crash-Test ? PIY (Print It Yourself) Les liens vers le PDF sont ou seront bientôt disponibles ICI si vous souhaitez gérer des impressions, des distributions ou des ventes. Crash-Test#5 : SPORT On propose un thème et c’est « Sport ». Mais pas obligé d’être dans le thème non plus. Mais c’est plus marrant. Et tout ce qui est envoyez en retard sera publié en retard. DEADLINE de la recolte du contenu le 1er MAI PARTICIPER ? C’est cool d’envoyer des trucs le plus tôt possible, comme ça d’autre personnes pourront peut être ajouter des images ou peaufiner les mises en pages toussa. mag-a-zinne@proton.me Toujours à faire, encore à faire : Print It Yourself (cf plus haut) Distribuer, faire la promo du trucs, trouver de nouvelles personnes qui pourrait aimer prendre de la place dans ces pages. Envoyez vos conseils, critiques, retours pour orienter les crash dans un meilleur axe ou vers un autre mur. Envoyer vos propositions ou contributions ou thune pour la suite. Dite nous si vous souhaitez vous occuper d’une page en particulier ou d’une rubrique en particulier. Vous pouvez rejoindre le Comité Ré(d)actionnaire pour aider à la recherche de contenus, à la compilation et à la finalisation (mise en page, impressions etc). mag-a-zinne@proton.me Le formulaire de participation est aussi toujours utilisable si vous souhaitez rejoindre l’équipage (c’est une mailing-list) sans encore trop savoir quoi y apporter (les stages d’observation sont acceptés) :https://stuut.info/IMG/pdf/formulaire_candidaturev4-2.pdf

Bruxelles Bruxelles |
Santé / Soins

[festival] Gaza Boxing

Fragile et la Rage ont le plaisir de vous annoncer un festival de sport, musique, art, tattoos, artisanat et de solidarité pour Gaza Boxing, un club de boxe féminin à Gaza. Fragile and La Rage are pleased to announce a festival of sports, music, art, tattoos, handcraft and love of solidarity for Gaza Boxing, a boxing gym for girls and women in Gaza. English below GAZA BOXING a été complètement détruit par la brutalité des attaques israeliennes sur la Palestine. Les athlètes, leurs familles et leur coach ont été déplacés de force de leurs maisons (maintenant détruites) du nord de Gaza au sud de Gaza dans des tentes. Malgré la situation d’absolue précarité, le coach et les athlètes ont continué à s’entrainer avec le peu qu’iels avaient à disposition, en improvisant. D’autres personnes ont rejoint les entrainements et ceux ci les aident à garder le moral. Grace à l’initiative de leur coach qui publie des vidéos des entrainements sur les réseaux, iels ont pu avoir une visibilité pour sensibiliser le monde à prendre part, dire fermement non au génocide, dans des termes clairs. Le 19 april sera une journée de sport, d’art et de musique, un temps pour se rassembler et prendre position. Plus que jamais nous devons soutenir la Palestine et son peuple contre les attaques continues d’Israël et la menace de transformer Gaza en une colonie Etats-unienne. Les bénéfices aideront le collectif Gaza Boxing à acheter des médicaments, des couvertures, de la nourriture, et tout ce dont iels pourraient avoir besoin. Soyons solidaires ! Au programme : 3 sessions d’entrainements se tiendront au matin : 9h30 : Ouverture des portes pour les participant.e.s – petit dej’ d’acceuil 10h : Entrainement de boxe avec Chiara Gregoris, combattante poids plume porfessionnelle et coach de boxe au club Pugilistica Navile, à Bologne en Italie. 10h : Entrainement de Jiu-Jitsu brésilien* 11h : Ouverture des stands solidaires (tattoos, merch, art, fanzines, hairdressing, second-hand and more) Brunch (dispo en mode buffet l’aprèm) 12h : Entrainement de Muay Thai* *Ces 2 entrainements sont donnés par Peter Hirving, ceinture noire de Jiu-Jitsu brésilien, ancien pro de MMA et combattant de kickboxing et Muay Thai et entraineur principal au Newcastle Fight Centre, Itaipava BJJ et Semtex Kickboxing, à Newcastle au Royaume-Uni. 15h : Gala de sports de combat (souvenons nous que ce ne sont pas des matchs officiels, leur but est donc de partager un moment ensemble, il n’y aura ni gagnant.e.s ni perdant.e.s et il sera requis de calibrer sa force) 19h : Dj set pour le coucher de soleil par Estafette + Diner 20h : Lancement des concerts Line up : Sk1 6ail Glotte TBA ….. Le principe de base de l’organisation de cet événement : Il s’agit d’un événement DIY qui n’aspire pas à des modèles capitalistes de perfection, mais à y mettre notre cœur, du peuple au peuple ! Nous tenons à souligner, précisément parce qu’il s’agit d’un événement...

Bruxelles Bruxelles |
Racismes / Colonialismes

Rencontre avec Sam Cohen - autrice de Sarahland

⚡⚡ 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐔𝐃𝐑𝐄, 𝐛𝐢𝐛𝐥𝐢𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐪𝐮𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐞𝐫 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐠𝐞́𝐫𝐞́𝐞 ⚡⚡ 𝐋𝐞 𝐥𝐮𝐧𝐝𝐢 𝟐𝟏 𝐚𝐯𝐫𝐢𝐥, 𝐥𝐚 𝐅𝐨𝐮𝐝𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐭𝐞 𝐒𝐚𝐦 𝐂𝐨𝐡𝐞𝐧 𝐚̀ 𝐥’𝐨𝐜𝐜𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞 𝑺𝒂𝒓𝒂𝒉𝒍𝒂𝒏𝒅 𝐞𝐧 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐒𝐚𝐫𝐚𝐡 𝐍𝐞𝐭𝐭𝐞𝐫 𝐚𝐮𝐱 𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐁𝐮𝐫𝐧 𝐀𝐨𝐮̂𝐭 ! 𝘚𝘢𝘳𝘢𝘩𝘭𝘢𝘯𝘥 est un ouvrage de fiction états-unien contemporain qui se découpe en dix nouvelles, toutes reliées par les personnages de Sarahs et leurs parcours initiatiques à la fin de l’adolescence. Sam Cohen, autrice queer et juive, déploie un univers drôle et piquant autour des notions d’identité, de transition, de transformation, d’émancipation et d’apprentissage. Née à Détroit aux États-Unis, Sam Cohen vit et travaille actuellement à Los Angeles. Elle est une autrice de fiction dont les romans explorent des thèmes à l’intersection du féminisme, des études queers, et des pensées juives. Après avoir publié dans différentes anthologies et revues littéraires (Queer Flora, Fauna, and Funga, Weird Sister Collection, etc.), elle publie en 2021 𝘚𝘢𝘳𝘢𝘩𝘭𝘢𝘯𝘥, un recueil de nouvelles, dont la version française sera éditée par les éditions Burn-Août. ⚡ Au programme de cette rencontre : Rencontre avec l’autrice, traducteurice, équipe de Burn-Août, lectures d’extraits, discussions autour des thématiques du livre (luttes queers, identités juives, antiracisme, adolescences, enfances, pop culture, réalisme fantastique), possibilité de se procurer le livre sur place et de customiser sa couverture avec le graphiste du livre Flo*Souad Benaddi. 𝗟𝗜𝗘𝗡 𝗗’𝗜𝗡𝗦𝗖𝗥𝗜𝗣𝗧𝗜𝗢𝗡 : https://urlr.me/4VxwMz Informations pratiques de l’évènement : 📅 Lundi 21 avril de 17h à 19h, ouverture du bar à 16h00 📍 Le Récif, avenue du Pont-Neuf, 4, 1000 Bruxelles 🗣️ L’évènement sera bilingue anglais / français 🚌 Transports en commun : à 260 m de l’arrêt Yser (métros 2 et 6, bus 45, tram 51), à 500 m de l’arrêt Rogier (métro 2 et 6, pré-métro 3 et 4, tram 25 et 55, bus 58, 61, et 88), à 500 m de l’arrêt Sainte-Catherine (métro 1 et 5). 💸 Événement sur inscription : https://urlr.me/4VxwMz 🥪 Boissons et snacks en vente au bar (paiement Payconiq ou cash, prix accessibles). ♿ Événement gratuit / Accès PMR (Entrée, Toilettes et Bar) / Parking vélo / Parking PMR sur demande / Chaises larges sans accoudoirs / Luminaires dimmables / Casques anti-bruit disponibles / Boucle auditive sur demande / Coin calme (sans accès PMR). 💬 N’hésite pas à nous contacter pour tout besoin spécifique. 🐣 Enfants bienvenu.e.s, envoie-nous un mail si besoin d’une garderie.

Bruxelles Bruxelles |
Santé / Soins

Projection du documentaire Echo(e)s et rencontre avec la réalisatrice Chloé De Bon

Echo(e)s - un documentaire sur les violences gynécologiques et obstétricales à travers une série de témoignages 📢Le mardi 06 mai, le Poisson Sans Bicyclette projette le documentaire « Echo(e)s » de Chloé De Bon. 🎬"Le film ‘Echo(e)s’ visibilise les expériences souvent minimisées et banalisées qui se vivent lors d’un suivi gynécologique ou obstétrical. Il se construit sur le récit de huit personnes, en paroles et en mouvements, sur terre et dans l’eau, pour (re)questionner les pratiques de soin par le soin. La totalité de l’équipe de tournage est composée de femmes, depuis l’ingénieure son, à la cheffe op en passant par les assistantes de réalisation et production. D’abord pour faciliter la parole des personnes qui témoignent car il s’agit de sujets très intimes mais aussi parce que ces femmes sont souvent sous-représentées dans certains métiers du cinéma." Pour plus d’informations : https://www.echoes-movie.com/ 🗣Un moment d’échange est prévu avec la réalisatrice après la projection. Réserve vite ta place ! Infos pratiques : 📅 Mardi 06 mai 2025 de 19h à 21h. Accueil à partir de 18h30 ! 📍 Le Récif, avenue du Pont-Neuf, 4, 1000 Bruxelles 🗣️ Film en VF, sous-titré FR 🚌 Transports en commun : à 260 m de l’arrêt Yser (métros 2 et 6, bus 45, tram 51), à 500 m de l’arrêt Rogier (métro 2 et 6, pré-métro 3 et 4, tram 25 et 55, bus 58, 61, et 88), à 500 m de l’arrêt Sainte-Catherine (métro 1 et 5). 💸 Événement sur inscription : https://urlr.me/pw7jnV 🥪 Boissons et snacks en vente au bar (paiement Payconiq ou cash, prix accessibles). ♿ Événement gratuit / Accès PMR (Entrée, Toilettes et Bar) / Parking vélo / Parking PMR sur demande / Chaises larges sans accoudoirs / Luminaires dimmables / Casques anti-bruit disponibles / Boucle auditive sur demande / Coin calme (sans accès PMR). 💬 N’hésite pas à nous contacter pour tout besoin spécifique.

Bruxelles Bruxelles |
Extrême-droite / Antifascisme

Une dizaine d’établissements bruxellois pris pour cible car ils accueillent l’extrême droite hongroise

Cette nuit, des activistes ont recouvert les façades d’hôtels et lieux bruxellois de collages contre l’extrême droite. Ces militant·es dénoncent l’accueil de conférences du MCC Brussels, un think tank proche de Viktor Orbàn. Ce n’est pas le premier coup pression du collectif Vigilance Cordon Sanitaire sur ces établissements. Plusieurs interpellations ont eu lieu. Explications. Cette nuit, des activistes ont recouvert les façades d’hôtels et lieux bruxellois de collages contre l’extrême droite. Ces militant·es dénoncent l’accueil de conférences du MCC Brussels, un think tank proche de Viktor Orbàn. Ce n’est pas le premier coup pression du collectif Vigilance Cordon Sanitaire sur ces établissements. Plusieurs interpellations ont eu lieu. Explications. “Ici, on accueille l’extrême droite #MCC” : c’est le message affiché cette nuit sur plusieurs façades de lieux bruxellois. Les militant·es antifascistes ont ciblé en tout une dizaine d’établissements dans la capitale. Parmi les cibles, on retrouve The Hotel sur la petite ceinture, deux établissements de la chaîne Thon Hotel mais aussi la Librairie Solvay. « Nous dénonçons l’hébergement par ces hôtels de conférence du MCC Brussels, un think tank hongrois auprès de l’Union Européenne » explique Louise, militante pour le collectif antifasciste Vigilance Cordon Sanitaire. Selon les activistes, ces conférences font écho aux politiques et valeurs portées par le régime autoritaire hongrois de Viktor Orbàn, actuel premier ministre de la Hongrie. « On retrouve le racisme, les attaques contre les personnes LGBTQIA+ ou encore le climato-scepticisme caractéristiques du régime hongrois dans les conférences du MCC. Cela s’incarne dans les thématiques abordées et le choix de leurs invité·es. Ils ont un véritable projet de transformation par la haine de l’Union Européenne » continue Louise. « Faut-il rappeler que Viktor Orbàn a récemment interdit la Pride en Hongrie et quitté la Cour Pénale Internationale ? » Les activistes pointent du doigt le rôle des hôtels et des salles de réceptions accueillant les conférences du MCC. « Selon nous, ils ont un rôle à jouer et doivent cesser d’accueillir ces conférences. Devant la montée des extrême droites partout dans le monde, il faut maintenant choisir : s’opposer ou collaborer ». Les militant·es expliquent avoir déjà envoyé des dizaines de mails ainsi qu’interpellé les établissements sur les réseaux sociaux. Ils ont donc décidé de passer à l’étape suivante. « Les hôtels doivent prendre conscience du rôle important qu’ils ont et agir. Dans le cas contraire, nous continuerons les actions » conclut Louise. Toutes les cibles n’ont pas pu être atteintes. « Certain.es militant.es et un journaliste ont été arrêté.es par la police mais ielles n’avaient pas fait de collages » explique Louise. Voir cet article et d’autres sur le sujet sur le site : https://vigilancecordonsanitaire.be Article qui explique en détail le MCC : (...)

Bruxelles Bruxelles |
Féminismes / Antipatriarcat

Dialogues sur la justice transitionnelle et la mémoire en Colombie et au Pérou dans la perspective de la recherche engagée

Diana Gómez Correal et Goya Wilson Vásquez discutent, à partir de leurs livres « De l’amour, du sang et de l’utérus : la politisation des liens familiaux et la gestation d’une paix transformatrice en Colombie » (2024) et « Apprendre à travers le travail de mémoire collective : problématiser le témoignage dans le Pérou d’après-guerre » (2025), du déploiement de la justice transitionnelle dans les deux pays et des luttes des mouvements sociaux pour rendre visibles les formes de violence pasées sous silence et contribuer, de manière particulière à chaque contexte, à des projets de changement par le travail de mémoire. Ce dialogue s’inscrit dans le cadre de la campagne Avril en mémoire, un effort des groupes latino-américains visant à mettre en lumière la violence d’État au XXe siècle dans la région et à réfléchir à ses spécificités et à sa persistance. En avril, dans Mémoire, nous discutons des possibilités du présent en Colombie et au Pérou, à partir de l’expérience située des chercheurs. Jimena Reyes, directrice de la FIDH pour les Amériques et avocate au Barreau de Paris, et Rafael Salgado, membre de HIJXS au Pérou et auteur de « Des silences et autres bruits, mémoires d’un enfant de la guerre », seront présents pour commenter. Diana Gómez Correal est titulaire d’un doctorat en anthropologie de l’Université de Caroline du Nord aux États-Unis et est une féministe décoloniale. Elle a mené des recherches sur la justice transitionnelle, les mouvements sociaux et le genre. Elle a été nommée première femme vice-ministre des Femmes en Colombie. Depuis 2006, elle fait partie de Fils et Filles pour la Mémoire et Contre l’Impunité. Goya Wilson Vásquez est péruvien-nicaraguayen et titulaire d’un doctorat en éducation de l’Université de Bristol. Elle étudie les luttes de mémoire et les méthodologies créatives/radicales en Amérique latine, les intersections entre la recherche et l’activisme, et les utilisations de la créativité/imagination dans le travail de mémoire. Il est membre du collectif HIJXS du Pérou.

Bruxelles Bruxelles |
Extrême-droite / Antifascisme

[Antimilitarisme] Atelier et musique / Workshop and music

Nous vous invitons à une soirée dédiée à la tradition antimilitariste, et aux perspectives actuelles d’opposition concrète à cette logique de promotion des guerres capitalistes qui s’emballe sous nos yeux. We invite you to an evening dedicated to the antimilitarist tradition, and to the current perspectives of concrete opposition to this logic of promoting capitalist wars that is roaring before our eyes. [English below] Durant la première partie de la soirée, un camarade viendra nous parler de son travail sur Bart de Ligt et proposera un atelier pratique de réflexion autour de ce que pourrait être un plan de bataille pour un mouvement antimilitariste (voir ci-dessous). Le reste de la soirée sera l’occasion de poursuivre les discussions sur un fond musical varié de chansons antiguerre. Si vous en connaissez déjà, envoyez-nous vos suggestions. La buvette sera ouverte dès 17h, et une sélection de textes sur le sujet (dont les vôtres, si vous souhaitez en proposer) sera mise à disposition. À bientôt. Anarchistes Contre les Guerres Capitalistes ancontreguerre@riseup.net ANTIMILITARISME : MAIS COMMENT ? J/M a travaillé pendant plus de 2 ans sur une traduction de textes de l’anarchiste, syndicaliste et antimilitariste néerlandais Bart de Ligt. La publication de deux volumes est en préparation : « Conquête de la violence » et « Plan de bataille contre la guerre et la préparation à la guerre », avec toute une série de textes jamais traduits qui apportent contexte et profondeur. Bart de Ligt était à la fois un érudit avec un intérêt très large et un activiste qui a développé de nombreuses propositions pratiques durant ses décennies consacrées à l’organisation, aux discours, à l’écriture et à l’étude. Venez discuter des causes de la guerre et de ce que nous pouvons faire pour l’arrêter. La paix est-elle simplement l’absence de guerre ? La paix est-elle possible sans justice ? Que sont le « Plan de bataille » et le « 100 Minutes Speech » ? Que faut-il faire et que pouvons-nous faire ? Venez voir si vous pouvez commencer à élaborer vos propres Plans de bataille ! During the first part of the evening, a comrade will come to talk about his work on Bart de Ligt and propose a practical workshop of reflection around what could be a battle plan for an antimilitarist movement (see below). The rest of the evening will be an opportunity to continue the discussions on a varied musical background of anti-war songs. If you already know some, send us your suggestions. The bar will be open from 5pm, and a selection of texts on the subject (including yours, if you wish to propose) will be made available. See you soon. Anarchists Against Capitalist Wars ancontreguerre@riseup.net ANTIMILITARISM : BUT HOW ? J/M has worked for over 2 years on a translation of texts by Dutch anarchist, syndicalist and antimilitarist scholar and activist Bart de Ligt. Publication of two volumes are in the making : ’Conquest of...

Bruxelles Bruxelles |
Médias

Des travaux d’intérêt généraux et des amendes pour avoir critiqué la police en ligne ?

Des nouvelles de la cellule radicalisme #4 Depuis plusieurs mois, Bruxelles dévie, publie une série d’articles sur des censures d’opinions politiques sur internet car elles critiquent la police. Pour rappel : des Sanctions Administratives Communales (SAC) pouvant aller jusqu’à 500 euros ont été dressées par l’Officier de Police Judiciaire de la cellule radicalisme de la Ville de Bruxelles à l’encontre d’au moins 5 personnes. Deux d’entre elles ont également été convoquées au commissariat et interrogées pour avoir critiqué ou dénoncé des violences policières sur Instagram. Une de ces SAC a abouti à une peine de 1 jour de travaux forcés (Peine de Travail Autonome) et une autre à 270 euros d’amende. Ces deux personnes ont été sanctionnées par l’administration, car elles avaient partagé dans une de leurs stories éphémères sur Instagram l’expression populaire « ACAB » pour « All Cops Are Bastards », notamment à la suite d’une expulsion violente de sans-papiers palestiniens par la police. Pour mieux comprendre les enjeux derrière ces SAC nous avons interrogé Alexis Deswaef, ancien président de la Ligue des Droits l’Homme belge (LDH) et avocat défenseur des droits sociaux. « Historiquement, les SAC ont été inventées pour lutter contre les incivilités que le Parquet n’avait pas le temps de poursuivre, afin d’éviter une impunité de fait face à ces incivilités. Au fil des années, l’usage des SAC comme outil de répression a été élargi, au point qu’il y a maintenant visiblement même une cellule de veille au sein de la police qui passe ses journées à scroller sur les réseaux sociaux, non pas pour voir si des infractions s’y commettent (racisme, discrimination, appel à la haine ou à la violence de l’extrême droite par exemple) mais pour débusquer la moindre critique de la police ou de son action (par exemple quand l’action de la police est disproportionnée ou qu’elle réprime une manifestation avec violence). » Alexis Deswaef « On arrive à une situation inacceptable où la police est ainsi juge et parti, avec les fonctionnaires sanctionnateurs des communes qui suivent aveuglément ce que demande la police. Or, il est important de rappeler que ce sont les bourgmestres qui sont les chefs de la police et pas l’inverse. Le résultat de tout cela ? C’est la liberté d’expression qui est attaquée par la police qui tente d’étouffer toute critique à son égard, pourtant autorisée en démocratie.​ La police semble oublier la jurisprudence de la CEDH qui rappelle que la liberté d’expression protège les propos qui heurtent, qui choquent et qui blessent. On arrive à une situation paradoxale : au plus la police fait mal son travail, au moins on peut la critiquer. » Alexis Deswaef Il est important de souligner que c’est la cellule radicalisme de la Ville de Bruxelles qui est à l’initiative de ces SAC et de ces intimidations. Cette dernière est un maillon de la lutte anti-terroriste en Belgique. Mises en place dans le cadre du Plan R (R pour Radicalisme), puis...

Bruxelles Bruxelles |
Extrême-droite / Antifascisme

Le site de l’usine d’Audi transformé en usine d’armement ?

En soutien aux travailleur·euses en lutte, le rassemblement contre l’Arizona de ce dimanche 13 avril est organisé sur le site d’Audi En septembre dernier, nous apprenions que l’usine du fabricant automobile Audi allait fermer ses portes à Forest. A cause de cette fermeture, plus de 3 000 personnes ont perdu leur emploi alors que certain·es y travaillaient depuis des années. De plus, la majeure partie des employés n’a a reçu que des indemnités de misère, très loin d’être à la hauteur des normes qui auraient dû être en rigueur. Dans le sillage de ce drame social, le nouveau ministre de la Défense Théo Francken (NVA) a récemment annoncé qu’il souhaitait reconvertir l’ancien site du constructeur en usine d’armement. Cette envie présentée par le politicien d’extrême droite flamand, intervient alors que la Belgique envisage de faire monter son budget national alloué à l’armement de 1,3% aujourd’hui à 2,5% de son produit intérieur brut d’ici 2034. Cette augmentation fait également écho aux pressions portées par l’OTAN et notamment les USA, pour que chaque pays membre contribue dans le budget de l’armement. Si ce sont plus de 50 millions d’euros qui sont dépensés pour le secteur de la Défense par la Belgique en 2025, c’est le chiffre mirobolant de 400 millions d’euros de dépenses publiques allouées à ce même secteur qui est espéré par notre gouvernement pour l’horizon 2029. En effet, dans le contexte de guerres militaires et économiques qui sont aujourd’hui menées par l’Occident et ses alliés, de nombreux pays comme la Belgique se lancent dans une course effrénée au « réarmement ». Il est désormais question pour les pays occidentaux de renforcer plus que jamais le budget alloué à l’armement tout en envisageant la potentielle reprise d’un service militaire obligatoire. À côté de cet investissement massif dans le secteur de la défense, l’Arizona poursuit les économies massives de budgets alloués à l’ensemble des secteurs sociaux. L’accord de gouvernement Arizona annonce des mesures particulièrement dures, comme l’instauration de la politique migratoire la plus stricte jamais appliquée en Belgique, ou encore une forte diminution des allocations de chômage. Ce processus de militarisation dans lequel la Belgique est lancée n’est que le reflet des politiques d’extrême droite qui composent notre gouvernement. En bref, les convoitises autour du site d’Audi dans la commune de Forest présentent à merveille le projet économique et politique promu par des multinationales comme Audi et nos autorités. D‘un coté des politiques d’entreprises toujours plus cruelles, qui n’hésitent pas a licencier des travailleurs sans respecter leurs droits, puis de l’autre des gouvernements qui profitent de la casse sociale pour instaurer leur projet de société : celui d’un état qui investit massivement dans l’armement tout en coupant dans les budgets des aides sociales En soutien à la lutte des travailleur·euses d’Audi, le troisième rassemblement contre le (...)

Bruxelles Bruxelles |
Contrôle social / Répression

Toujours des problèmes pour la Sûreté

Les syndicats de la Sûreté de l’Etat (Sypol, SLFP, CGSP et CSC) ont écrit le 21 mars au Comité R une lettre portant sur trois points. D’abord par les déboires du système informatique de la Sûreté baptisé « Atlas » qui n’est toujours pas fiable (voir notre article ). Ses lacunes font craindre une perte d’information consécutive au suivi hasardeux des pièces à traiter, ainsi qu’une altération à long terme des informations de la base de données. Aucune information n’est perdue, mais on ne retrouve pas des infos. « Atlas », commandé en raison de l’augmentation des informations entrantes (de 13 000 à 40 000 en dix ans ), a coûté près de 40 millions d’euros. Second sujet : « Remix », la vaste réforme interne qui a repensé tout son modèle d’investigation. Un manque de clarté et de définition des processus-workflows-prises de responsabilités depuis sa mise en place a mené à une mise en concurrence contre-productive de plusieurs lignes hiérarchiques. A cela s’ajoute un désinvestissement dans le “humint” » (renseignement auprès de sources humaines). Le modèle d’investigation qui se veut très réactif (ouvrir une enquête, agir et refermer l’enquête), or cette temporalité ne convient pas à un travail avec des sources humaines, qui requiert un temps long. Les officiers traitants, ceux qui font de la collecte de terrain, sont de moins en moins, d’autres ont dû clôturer des sources humaines bien placées dans certains milieux. La lettre syndicale conclut sur les conséquences : perte d’efficacité, perte de motivation, augmentation des absences pour maladie de longue durée, départ rapide de nouvelles recrues etc. Lors d’une audition à la Chambre mi-février, Francisca Bostyn (photo, avec Abdellatif Hammouchi, chef de la police nationale et du renseignement intérieur du Maroc), administratrice générale de la Sûreté de l’Etat, avait reconnu que le travail proactif et préventif avait été quelque peu perdu de vue en raison du nouveau modèle et que l’organisme était en train de procéder à des ajustements.

Bruxelles Bruxelles |
Logement / Squat

Cantine Populaire a l’Antenne Noire

🎙️ parfois liquide, parfois solide, toujours ensemble contre un estomac vide 🫑🥗🍋‍🟩🍠🥔 🍴Dimanche 13 avril 🍴 C’est Cantine Populaire à l’Antenne Noire ---1 rue du marais ---- 🌶️🧄🍲Viens cuisiner à partir de 16 ou rejoins nous à partir de 19h pour manger ensemble 🍲🧄🌶️ 🧃Bar autogéré et sans alcool 🍿et A 20h30 y’a film 🍿 🪙Prix libre🪙 /////ENGLISH//// 🎙️ Sometimes solid, sometimes liquid, But always together against a hollow feeling 🫑🥗🍋‍🟩🍠🥔 🍴Sunday, April 13 🍴 It’s Cantine Populaire at l’Antenne Noire —1 rue du marais — 🌶️🧄🍲Come cook from 16pm or join us from 7pm to eat together 🍲🧄🌶️ 🧃Bar autogéré et alcohol free 🍿and at 20h30 moviiie🍿 🪙Free price🪙 🎙️ parfois liquide, parfois solide, toujours ensemble contre un estomac vide 🫑🥗🍋‍🟩🍠🥔 🍴Dimanche 13 avril 🍴 C’est Cantine Populaire à l’Antenne Noire ---1 rue du marais ---- 🌶️🧄🍲Viens cuisiner à partir de 16h ou rejoins nous à partir de 19h pour manger ensemble 🍲🧄🌶️ 🧃Bar autogéré et sans alcool 🍿et A 20h30 y’a film 🍿 🪙Prix libre🪙 // Sometimes solid, sometimes liquid, But always together against that hollow feeling 🫑🥗🍋‍🟩🍠🥔 🍴Sunday, April 13 🍴 It’s Cantine Populaire at l’Antenne Noire —1 rue du marais — 🌶️🧄🍲Come cook from 4pm or join us from 7pm to eat together 🍲🧄🌶️ 🧃Bar autogéré et alcohol free 🍿and at 20h30 moviiie🍿 🪙Free price🪙

Bruxelles Bruxelles |
Santé / Soins

Un palestinien envoyé à l’hôpital par la police, un autre en centre fermé

Dimanche 6 avril, lors d’une manifestation en soutien à la Palestine à Bruxelles, deux jeunes réfugiés palestiniens ont été arrêtés judiciairement. Les deux jeunes expliquent avoir été tabassés et violentés par la police à plusieurs reprises, dans leur cellule lors de leur arrestation cette nuit-là. L’un des deux a été transféré en urgence à l’hôpital durant la manifestation. Le second a été arrêté peu après la manifestation et a par la suite été incarcéré dans un centre fermé. Des centaines de personnes se sont jointes à la manifestation de Bruxelles en solidarité avec la Palestine, alors qu’Israël intensifie ses atrocités sans précédent à Gaza. La manifestation est partie place Poelart vers le centre-ville. Une fois arrivé·es à de Brouckère, plusieurs manifestant·es ont tenté de rallier la Bourse, lieu emblématique des rassemblements pro palestiniens depuis plus d’un an. Mais le cortège fut arrêté en chemin par une ligne de policiers anti-émeutes. C’est là que des violences absolument disproportionnées ont été commises par des forces de l’ordre. Sur les images que nous avons pu consulter, une des personnes arrêtées a été frappée à deux reprises. Un premier coup de bouclier au niveau de la tête, provoquant une plaie au visage, lui a été donné. Puis, un second coup de matraque, à l’arrière de la tête, a projeté au sol le jeune réfugié palestinien. Il a alors convulsé pendant de longues secondes. Il avait du mal à respirer et a perdu connaissance. Les secours ont mis une trentaine de minutes à intervenir et il a été transféré en urgence à l’hôpital. Une fois le réfugié palestinien arrivé aux urgences, la police s’est rendue sur place pour l’arrêter et l’interroger. Les médecins ont dans un premier temps refusé l’arrestation, car l’état de santé du jeune réfugié ne le permettait pas. La police a également refusé que quiconque ne monte le voir ni ses proches ni même son avocat·e si celle-ci n’était pas officiellement demandée par le jeune homme encore aux soins. Les forces de l’ordre ont par ailleurs identifié et menacé toutes les personnes venues en soutien à l’hôpital. Quelques heures plus tard, une fois que son état fut stabilisé, mais malgré risque de commotion, la police l’a arrêté et directement transféré vers le « commissariat royal » (la garde zonale fédérale, située rue Royale). C’est dans ce commissariat que Sourour, Ilyes Abbedou et Mohamed Amine Berkane sont décédé·es. Lors de son arrestation et son transfert au commissariat, il n’avait toujours pas eu de contact direct ni avec son avocat·e, ni avec ses proches. Selon son témoignage, il aurait subi des violences pendant sa nuit en cellule. En parallèle de cet événement, une autre personne palestinienne a été arrêtée judiciairement pour « coups et blessures« , car elle aurait bousculé un policier pendant l’altercation. Cette personne explique avoir quitté la manifestation sans problèmes, et qu’elle se serait fait arrêter à la sortie d’un restaurant. Elle a alors été...

Bruxelles Bruxelles |

| 1 | ... | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | ... | 100 |

Suivre tous les articles "Bruxelles"

Publiez !

Comment publier sur Stuut ?

Stuut est un média ouvert à la publication.
La proposition d'article se fait à travers l’interface privée du site.
Si vous rencontrez le moindre problème ou que vous avez des questions,
n’hésitez pas à nous le faire savoir par e-mail: contact@stuut.info