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Conférence « Les PFAS et leurs effets sur la santé », comment sortir de l’impuissance ?

Dans le cadre du Cycle sur les polluants chimiques « Sortir de l’impuissance ! » La Fédération des maisons médicales, Etopia et Canopea vous proposent un cycle de quatre conférences sur les pollutions chimiques et leurs impacts sur la santé. Ces événements sont gratuits et ouverts à tou·te·s, sans inscription. Dans le cadre du Cycle sur les polluants chimiques « Sortir de l’impuissance ! » : Conférence #1 « Les PFAS et leurs effets sur la santé » - Quand ? Le jeudi 7 novembre 2024 de 20h à 22h. - Où ? À l’ UCLouvain, auditoire Montesquieu (rue Montesquieu 32 à Louvain-la-neuve). - Pour les médecins : l’accréditation Inami est demandée. Beauvechain, Jodoigne, Ronquières, Chièvres... ont fait la une de l’actualité ces derniers mois en raison de la teneur élevée en PFAS (substances per- et polyfluoroalkylées) dans l’eau de distribution. Ces révélations inquiètent la population qui trouve peu de réponses à ses questions. Que sont les PFAS ? Comment se retrouvent-ils dans l’eau que nous buvons et les sols que nous cultivons ? En quoi sont-ils dangereux pour la santé ? Comment (ré)agir en tant que soignant∙e, patient∙e et citoyen∙ne ? Intervenant·e·s Sébastien Cleeren, médecin généraliste, membre de la cellule environnement de la Société Scientifique de Médecine Générale (SSMG) Emmanuel Morimont, journaliste RTBF réalisateur du documentaire « Polluants éternels, le silence coupable » Delphine Misonne, docteure en sciences juridiques (UCLouvain Saint-Louis Bruxelles). À suivre Conférence #2 - Sujet : Recyclage des métaux, quels dangers pour la santé  ? Le 10 décembre 19h30 à Charleroi (Charleroi Auditorium du CPAS de Charleroi, Boulevard Joseph II, 13 - 6000 Charleroi) Conférence #3 - Sujet : Le Chlordécone, un polluant néocolonial aux Antilles françaises. En janvier 2025 à Bruxelles. Conférence #4 - Sujet : Les leviers juridiques et citoyens face aux pollutions chimiques. En février 2025 à Namur. Plus d’infos : www.maisonmedicale.org/actualites/cycle-sur-les-polluants-chimiques-sortir-de-limpuissance/

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Retour sur l’explusion de l’occupation du Wondelmeersen à Gand (EN/FR)

Personal testimony of the eviction of the forest occupation in Ghent on the 9th of October. [FRENCH BELOW] As you probably noticed we got evicted on the 9th of October. They came at 6h in the morning. We woke up in our treehouses and saw their strong lights. Hundreds of cops circled the whole Wondelmeersen. Neighbours couldn’t get near. Streets were blocked. Police was checking everyone that wanted to pass the wider area. It was still dark for a long time. But then when the sun got up, we all of a sudden saw how fucking many cops were standing below us in the forest. Also a lot of groups of anti-terror unit COPS standing there with their big guns ready in their hands. Meanwhile they were destroying our ground structures in full rage. Also 2 drones and a helicopter were checking on everything from above us. And at the same time the eviction tank was trying to get through our big barricade. (Which took quite some time) Via walkways we started spreading out in the trees, lock-ons ready, some occupiers climbing as high as possible up in the trees. Then at least 20 climbing cops came. And with them a lot of ladders to get on the kitchen platform and to get up on the lower part of the trees. The climbing unit went really fast and unsafe. They were using our structures and climbing ropes even going on our walkways. Taking a lot of risks. Bringing people in danger by wanting to cut safety lines. Pointing a gun at someone threatening to shoot if they move. Standing on the third floor of the Miss Beam tower with waaay too many cops. Just too many examples for their unprofessional and dangerous behaviour… 1 by 1 people got removed from the trees and were getting arrested. The people that climbed high up in the trees got evicted by helicopter since the climbing cops couldn’t reach them. In total 17 people got arrested and were kept in the cell for 12 hours. The neighbourhood and whole Ghent was furious for this massive police operation. The state showed its true face once again… A spontaneous but beautiful demonstration arose right next to the Wondelmeersen. At the same time trees were getting cut. Some of them were at least 100 years old. It was a shocking day. An attack on nature. An attack on all that was alive. More then 600 species had yet been discovered in the Wondelmeersen. Now they lost their place to live, if only they didn’t got killed by the machines… 😢 More protests and days of actions followed. Some tried to block the big machines of destruction. Some climbed in the trees that were still standing. At the same time the action comité from the neighbours was legally trying to stop the machines. And after some days they had succes with that !! Since then De Lijn cannot continue cutting and working in the Wondelmeersen until there’s the court decision about the permission for their busdepot. This decision should be there in a couple months. In Belgium this happens all the time, they cut forests before there’s...

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[France/Bure] Les bestiales #2

Les bestiales #2, rassemblement antispéciste, auront lieu du 20 au 24 février 2025 à la maison de résistance à Bure (55). Dodo et cantine vegan sur place. Le programme est en construction, n’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez proposer un atelier. Pourquoi les bestiales #2 ? Après une première édition des bestiales à l’hiver 2023 où nous étions une centaine, nous proposons de nouvelles rencontres antispécistes à la maison de résistance à Bure. Nous avons l’impression qu’au milieu des urgences écologiques, antifascistes, décoloniales, etc, il est parfois dur de prendre le temps de discuter/réfléchir/agir sur des luttes tout autant centrales et entremélées telles que l’antispécisme (et l’antinucléaire). En hiver, il fait froid, il ne se passe pas grand-chose, alors pourquoi pas se retrouver en Meuse pour se rencontrer, partager, échanger autour de l’antispécisme ? Nous voyons l’antispécisme comme une oppression systémique qui se nourrit et qui nourrit d’autres oppressions, imbriquées les unes aux autres, aussi, nos envies pour ces rencontres est d’avoir une approche anti-autoritaire, anticapitaliste et une organisation autogestionnaire. Une attention sera portée à ne pas véhiculer d’oppressions systémiques. Informations pratiques Les informations ici seront complétées au fur et à mesure sur bureburebure.info. Préinscription Pour nous aider à anticiper la logistique, c’est cool si tu te préinscrits. C’est anonyme, pas obligatoire et pas engageant mais ça nous donne des repères. Lien de préinscription : https://forms.42l.fr/apps/forms/D6YQ49k2jDy7riqa Programmation et ateliers On va essayer de vous concocter des supers ateliers mais on a aussi très envie de co-penser ces rencontres et leur contenu avec vous. On espère que vous viendrez avec vos idées de discutions/ateliers/etc pour partager ensemble ce que sont nos antispécismes et nos manières de les mettre en actes. Hésitez pas a nous dire dans le formulaire ou par mail si vous voulez animer des trucs ou co-construire un ateliers avec nous, sur des sujets qui vous parle et vous semble important. Il y aura aussi des espaces pendant les rencontres pour des ateliers non programmés si tu veux réfléchir a un trucs et voir comment tu le sens sur le moment. On cherche entres autres des ateliers qui parleraient d’antispécisme mais aussi de luttes décoloniales, d’anticapitalisme, d’antivalidisme, etc. Accessibilité Pour ces rencontres, on a envie de penser en amont l’accessibilité (au sens large). On souhaite être transparent.es sur comment est pensé/construit l’événement. Des mises à jour seront donc données ici au fur et à mesure. Pour nous contacter, l’adresse c’est toujours : rencontres-animales@immerda.ch Les points sur lesquels on a envie de réfléchir : Ateliers sur le validisme (et éventuellement les liens, ou non, avec le specisme) Au delà de cocher des cases pour arriver à un événement suffisamment « accessible » ou « inclusif »,...

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Rencontres Perdurer et transmettre nos espaces collectifs

Trois journées d’échanges et de réflexions autour des savoir-faire qui permettent aux communs de perdurer et de se transmettre à travers le temps. Programme : Vendredi 18 octobre 2024 - 18h - CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Quels communs face aux ravages écologiques ? Une rencontre avec Isabelle Stengers et Les soulèvements de la terre autour des enjeux de l’organisation politique des communs et de ses effets. Samedi 19 octobre 2024 - à partir de 10h - CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Table ronde de 10h à 17h avec la participation de la coopérative Longo Maï, les Terres maraîchères de Vaux, La Casserole, Les Lentillères, le Flêche d’Or, Gache Warache. ➡︎ La maintenance d’un espace collectif : Réflexion sur l’entretien des espaces communs, souvent invisibilisé et dévalorisé, mais essentiel pour la pérennité des lieux partagés. ➡︎ La transmission de l’esprit du lieu et de ses rituels Comment transmettre l’âme et les traditions d’un lieu mutualisé aux futures générations ? Exploration des rituels et des pratiques qui façonnent l’identité d’un espace partagé. ➡︎ La circulation des savoirs et les dangers des savoirs experts Discussion sur la transmission des connaissances au sein des collectifs et les déséquilibres de pouvoir que cela peut engendrer. ➡︎Conflits et responsabilités Débat sur la gestion des conflits au sein des collectifs : comment les anticiper, les gérer, et en tirer des leçons constructives. ➡︎ Qui vient ? Qui reste ? La subsistance des lieux autogérés dépend essentiellement des forces vives qu’ils abritent et de leur capacité à se régénérer. Qui arrive, qui part, qui reste ? Dimanche 20 octobre 2024 - à partir de 14h - Cercle Du Laveu, Rue des Wallons 45, 4000 Liège De 14h à 16h : Discussion partir des expériences d’Usus, Cinéma Nova et la Cafétéria Collective Kali/Fondation Mur Par Mur De 17h à 19h : Rencontre avec Sarah Vanuxem qui nous entretiendra de ses recherches sur le droit de propriété, et plus précisément des Des droits et des obligations des lieux entre eux. La soirée se poursuivra par la projection d’Une île et une nuit, un film des Pirates des Lentillères. Infos Pratiques Repas à prix libre le vendredi soir et le samedi midi. Apéros, soupes & papotes de 17h à 20h le samedi CPCR, Jonruelle 11, 4000 Liège Facilement accessible en bus (3 minutes à pied de l’arrêt le plus proche « place des déportés ») ou en train (gare saint-lambert puis 10 minutes à pied.) Trois des cinq salles que nous utiliserons sont accessibles aux PMR mais malheureusement les toilettes ne le sont pas en fauteuils roulants. Possibilité de se garer en voiture dans le quartier. Cercle Du Laveu, Rue des Wallons 45, 4000 Liège Arrêts les plus proches ( le 1 - 2min à pieds - Arrêt Place des Wallons ou Jacob Makoy) ou en train (gare des Guillemins - 15/20 minutes à pieds) Pas d’accès PMR : 3 marches de +/-20 cm (entrée large à double battants) Toilettes non-accessibles...

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[Donderberg Sauvage] Soirée de projection contre le béton

Projection du court métrage d’animation « Plat de résistance » et du long métrage « Une île et une nuit » à la MC Gare de Laeken. Parce qu’en ville comme à la campagne promoteurs et politiques menacent les derniers espaces sauvages ; en ville comme à la campagne la résistance s’organise. Parce qu’en ville comme à la campagne classe sociale, genre, race, âge, sont autant de motifs de discrimination ; en ville comme à la campagne un autre projet de société émancipatrice, gaillarde et sauvage sonne l’abordage ! Le collectif Donderberg Sauvage, qui occupe la friche du Donderberg et ses arbres depuis le 11 octobre jusqu’à l’abandon des travaux de bétonisation qui y sont prévus vous invite à une soirée apéro - projection. 19:00 En entrée, « Plat de Résistance » : court métrage d’animation de Marie Royer et Zinia Scorier Au travers d’enregistrements audio pris sur le terrain et d’images animées poétiques, le film dresse le portrait d’activistes qui utilisent l’alimentation comme outil dans leur lutte anticonsumériste. 20:30 En dessert, Une ile et une nuit, le film des pirates des lentillères Autour du feu, voyageurs et pirates se racontent leurs souvenirs, leurs rêves, leurs batailles. D’une langue à l’autre, de récit en récit se font entendre le grondement de la tempête et le bruissement des feuilles, les sirènes menaçantes et les danses endiablées, le choc des sabres et le chant des oiseaux. Jusqu’à l’aube se dessinent mille et un chemins de cette île imaginaire mais pourtant bien réelle. Infos : Lieu : MC Gare 2 RUE DU CHAMPS DE L’ÉGLISE 1020 LAEKEN Heure : ouverture à 18:30 Entrée : donation bienvenue mais non obligatoire Amenez du cash pour le bar !

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[Gand] la police expulse violemment une occupation qui protégeait un espace vert de 14 hectares menacé de destruction

Depuis le 20 juin dernier, des militant·es écologistes ont occupé la zone de la Wondelgemse Meersen au nord de Gand pour s’opposer à un projet de bétonisation. Cette réserve naturelle de 14 hectares figure aujourd’hui comme une des dernières parcelles encore en friche* d’un ancien terrain marécageux et est menacée par le projet de construction d’un dépôt de bus et de trams De Lijn (transports en communs flamands). Notons que 6 autres possibilités d’emplacement pour ce futur dépôt sont possibles mais elles ont toutes été écartées sans raison apparente. En plus de la zone naturelle, ce sont plus de 40 espèces animales protégées qui sont menacées par ce projet de bétonisation d’une zone en friche. Après plus de trois mois d’occupation, ce mercredi 9 octobre à l’aube, les forces de l’ordre ont décidé d’intervenir et de mettre fin à cette occupation. 14 militant·es ont été arreté·es lors de l’intervention policière. Le dispositif policier présent sur la zone le jour de l’expulsion était composé d’une quinzaine de combis de police, de drones, d’un hélicoptère et de nombreux chiens. Les militant·es qui ont construit cette occupation se sont installé·es en hauteur dans les arbres. En installant des habitations en hauteur pour empêcher la démolition du site forestier, les personnes présentes ont rendu impossible la destruction des arbres pour des raisons de sécurité humaine. Depuis le début de cette occupation, les personnes présentes sur place ont reçu un important soutien tant de la part d’habitant·es du quartier que d’autres organisations écologistes. En occupant cette zone, les militant·es ont permis de retarder considérablement la date à laquelle le défrichage de la zone aurait dû commencer. Initialement, à la demande de De Lijn, le juge avait ordonné que la forêt soit défrichée à la mi-juillet. Vu le retard occasionné par l’occupation dans la construction de ce dépôt, De Lijn a exigé des pouvoirs publics qu’ils imputent des amendes aux occupant·es de la zone naturelle. Cela fait plus d’une dizaine d’années que des luttes similaires ont lieu en Belgique, pour la préservation de sites naturels rares et menacés par des projets de bétonisation. Des zones à défendre (ZAD) ont par exemple récemment été organisées à Arlon ou à Liège pour protéger des sites naturels. En occupant un terrain de la sorte, les occupant·es arrivent souvent à retarder des projets de bétonisation de plusieurs mois, voire de les faire annuler. Cela avait par exemple été le cas à la ZAD de la Chartreuse à liège qui avait permis de faire plier un projet de construction immobilière. Rappelons également que les rares espaces verts encore en friche à Bruxelles sont souvent menacés de destruction au profit de projets immobiliers. C’est par exemple le cas à Laeken dans la friche de l’ilot Donderberg ou encore au marais de Biestebroeck. Dans certains cas, la défense de logement, qu’il soit public ou social est essentielle pour répondre à la crise du logement à (...)

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Appel au soutien à Donderberg Sauvage à la occupation de la forêt à Bruxelles

Des militants de la groupe Donderberg Sauvage occupent depuis vendredi matin la forêt sur la Donderberg à Laeken pour empêcher l’abattage des arbres Chers acteurs de protection environnementale, amoureux et curieux du vivant, agents de transition vers une société plus juste et durable, Le collectif Donderberg Sauvage fait appel à vous aujourd’hui afin de le soutenir dans la défense par l’occupation du Donderberg situé au nord de Bruxelles, dans la commune de Laeken ! La Donderberg est une friche de 3 hectares d’une valeur écologique importante, située au milieu d’un quartier densément peuplé. Cette forêt joue un rôle crucial pour maintenir la qualité de vie du quartier et constitue un maillon dans le couloir écologique qui relie plusieurs parcs bruxellois. Pour la construction du projet HOP, une école avec parking et terrains de sport, 171 arbres devraient être abattus, dont plusieurs sont âgés. En août, urban.brussels a accordé le permis de construction définitif. Depuis vendredi matin une vingtaine d’activistes occupent la forêt menacée par le bétonnage du Donderberg. Avec cette occupation permanente, le groupe souhaite empêcher l’abattage des arbres pour faire place au projet de construction mégalomane. Votre soutien à cette action serait précieux et important ! Comment soutenir ? En rejoignant nous directement sur le site. Votre présence compte ! Localisation : https://maps.app.goo.gl/rW9PqWunTrqKBBdu9 Partager sur vos réseaux Par votre expérience et expertise Via la (co)création d’ateliers, animations, des moments musical, ... Par des dons financiers https://opencollective.com/donderberg-sauvage Par des dons de matériel Love and rage !✊️🌳❤️‍🔥

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[France/Bure] Chantier collectif « Matmouth » 30 octobre – 6 novembre 2024

Chantier collectif en meuse pour le collectif de mutualisation de matériel du grand est. Source de l’information : https://bureburebure.info/events/event/chantier-matmouth-30-octobre-6-novembre-2024/ **Si ce chantier t’intéresse et que tu souhaites te préinscrire (non obligatoire ni engageant mais ça nous aide beaucoup pour l’organisation : https://forms.42l.fr/apps/forms/5di3cBeRaZWSBreN)** La Matmouth organise une semaine de chantiers du mercredi 30 octobre au mecredi 6 novembre 2024. Si vous ne connaissez pas la Matmouth, il s’agit d’un collectif qui mutualise du matériel collectif dans le grand est, dans le contexte d’une lutte contre l’enfouissement de déchêts nucléaire en meuse. On le prête pour des événements – principalement politiques – à prix libre. Pour en savoir plus sur la matmouth, notre présentation actualisée est sur notre site internet : https://lamatmouth.noblogs.org/ On avait déjà fait un chantier matmouth l’année dernière du 17 au 24 novembre 2023 qui s’était super bien passé et on remet ça cette année pour une deuxième édition ! Plus précisément sur les dates, le mercredi 30 octobre serait un jour pour arriver et on mangerait ensemble le soir pour faire ensuite une présentation de la semaine. On commencerait les chantiers le jeudi 31 octobre matin et on finirait le mercredi 6 novembre soir. C’est mieux d’être là sur la totalité de la semaine pour pouvoir prendre le temps de se connaitre, mais tu peux aussi passer quelques jours si tu ne peux pas venir tout le temps. L’accueil aura lieu à la maison de résistance, et il y aura du chantier dans plusieurs lieux ! Pour venir, tu peux retrouver l’adresse ici : https://bureburebure.info/venir/ Si tu viens en stop ou en train, tu peux appeler le numéro de la maison de résistance : *+33(0)9.54.10.57.11* Comme vous le savez probablement, Bure est une zone d’accueil où vous pouvez venir et rester quand vous voulez et autant que vous voulez. Donc vous pouvez évidemment arriver avant le 30 octobre et partir après le 6 novembre sans que cela soit un problème (ca fait même plaisir !) 🙂 Pour les personnes qui ne connaissent pas trop la zone, on prévoit de faire une visite des différents lieux le mercredi 30 de 16h30 à 18h30 au départ de la maison de la résistance à Bure 🙂 Ce dont on est déjà certain.es, c’est qu’on fera : des fabrications de meubles des travaux de réparation/entretien de barnums, des petits travaux de réparation d’objets électriques (rallonges, guirlandes, etc.), des travaux de couture (les fameuses housses de barnum qu’on a pas cousues l’année dernière), du rangement et de l’inventaire (notamment la construction d’une nouvelle étagère pour ranger de la signalétique d’événement et des toilettes sèches démontables), un peu de soudure (pour les tables et les bancs, les poulies pour les tonnes à eau, les poteaux de barnums, etc.), de la mécanique et de la construction d’ossature sur le camion du collectif, la construction d’un chapiteau de...

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[Azerbaïdjan] Répression en vue de la COP-29

Mi-juin, l’Union pour la liberté des prisonniers politiques d’Azerbaïdjan dressait une liste de 303 prisonniers politiques. Tout ce que le gouvernement considère comme critique provoque une persécution, qui va de la menace à une longue peine d’emprisonnement, décrétées sans que le condamné ai eu accès à un avocat, et sur base de preuves obtenues par les mauvais traitements et la tortures. C’est toute campagne d’intimidation qui a visé la société civile à l’approche de la COP-29. Les personnes ciblées sont des défenseurs des droits de l’homme, des journalistes enquêtant sur la corruption, les universitaires qui écrivent des articles scientifiques – notament des études ethnographiques ne correspondant pas à la propagande nationaliste officielle… et des militants éconlogistes. Ceux qui enquêtent sur la version officielle de la mine d’or de Gedabek sont ainsi visés. Une commission d’enquête, mise en place, à la demande du président Ilham Aliyev, avec à sa tête : Moukhtar Babaïev, ministre de l’Écologie, et désormais président de la COP29, avait affrimé que les analyses ne révèlaient aucune présence de cyanure dans le nouveau lac artificiel de stockage des déchets de la mine. C’est en prélevant des échantillons sur le site de Gedabek que Kanan Khalilzade, 27 ans, ingénieur en énergies renouvelables et membre de l’ONG Ecofront, a été appréhendé et emprisonné.

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|FRANCE] 1-10 décembre - chantier à la maison de résistance de Bure (meuse)

10 jours en chantier à Bure pour améliorer les espaces et se rencontrer ! Source de l’information : https://bureburebure.info/events/event/chantier-dhiver-a-la-maison-de-resistance/ Le chantier aura lieu du 1er au 10 décembre à la maison de résistance de Bure (Meuse - 55). En terme d’accueil : Il y aura sur place des dortoires (mixte et en mixité choisie sans mecs cis) – n’hésite pas à nous laisser un message et un contact si t’as des besoins spécifiques, draps et couvertures, la vie quotidienne s’organisera avec un tableau d’autogestion avec une cantine vegan, des vélos collectifs, et possibilité de venir chercher des personnes qui arrivent par train ou stop (quand on est dans un rayon de 20 km, il commence à y avoir peu de personnes pour prendre les gens). On espère être en tout autour d’une treintaine, il y aura plusieurs petits groupes de chantiers en parallèle. Certains espaces seront chauffés mais pas tous, un freeshop est sur place. Pour venir, tu peux retrouver plus d’informations ici : https://bureburebure.info/venir/ Il y a l’envie que ce chantier soit aussi un espace pour faire d’autres activités (films, boom, discussion, transmissions diverses,...). Des points chantiers auront lieu tous les jours pour faire un bilan et se répartir dans ce qu’il y a à faire, sur certains chantiers des personnes référentes auront préparé le matériel / les plans. N’hésite pas à venir dès le 30 novembre pour le 1er point chantier qui aura lieu le soir (ou avant si tu veux prendre du temps :)). Si tu peux t’inscrire sur ce formulaire si tu viens : https://forms.42l.fr/apps/forms/WoggXNWLpWWDTYWc Ce formulaire n’est pas obligatoire ni engageant, mais c’est important car ça nous aide pour préparer le chantier et la logistique au mieux (au moins si tu viens et quelles dates). Sur ces 10 jours il y a l’envie qu’il y ait des espaces de transmission de connaissance et de prendre des temps pour que tout le monde puisse proposer des temps conviviaux. Voilà quelques chantiers qui sont prévus : – Fabriquer et isoler une nouvelle pièce – Finir d’isoler des espaces – réparer un bout de toiture en taule qui fuit (en fonction du temps) – ranger et construire de meilleurs rangements dans l’atelier – Fabriquer des lits mezzanine – Réparer des outils électroportatifs Ces chantiers permettront d’améliorer l’accueil pour des évènements et sur les moments où il y a du monde. Adresse mail de contact si t’as des questions : burezonelibre[at]riseup.net

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Ode aux perdants (ploum.net)

Ode aux perdants Le Fediverse est-il pour les perdants ? se demande Andy Wingo fedi is for losers (wingolog.org) La question est provocante et intelligente : le Fediverse semble être un repère d’écologistes, libristes, défenseurs des droits sociaux, féministes et cyclistes. Bref la liste de tous ceux qui ne sont pas mis en avant, qui semblent « perdre ». Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. Pour moi, le point commun est surtout une volonté de changer les choses. Or, par définition, si on veut changer les choses, c’est qu’on n’est pas satisfait avec la situation actuelle. On est donc « perdant ». En fait, tout révolutionnaire est, par définition, un·e perdant·e. Dès qu’iel gagne, ce n’est plus un·e révolutionnaire, mais une personne au pouvoir ! Être progressiste implique donc d’être perçu comme perdant selon le filtre d’Andy. Le progrès nait de l’insatisfaction. Le monde ne sera jamais parfait, il faudra toujours l’améliorer, toujours lutter. Mais tout le monde n’a pas l’énergie de lutter tout le temps. C’est humain, c’est souhaitable. Lorsque l’énergie me manque, lorsque je ne suis pas un révolutionnaire, je me concentre sur un objectif minimal : ne pas être un obstacle à celleux qui mènent la lutte. Je ne suis pas végétarien, mais lorsqu’un restaurant propose des menus végés, je félicite le personnel pour l’initiative. Ce n’est pas grand-chose, mais, au moins, j’envoie un signal. Si vous n’avez pas la force de quitter les réseaux sociaux propriétaires, encouragez celleux qui le font, ayez un compte sur les réseaux libres, mettez-les au même niveau que les autres. Vous ne serez pas révolutionnaire, mais, au moins, vous ne serez pas un obstacle. Le coût de la rébellion Je suis conscient que tout le monde n’a pas le loisir d’être rebelle. J’enseigne à mes étudiants qu’ils vont avoir un des meilleurs diplômes sur le marché, que les entreprises se battent pour les embaucher (je le sais, j’ai moi-même recruté pour mes équipes). Qu’ils sont donc, pour la plupart, immunisés contre le chômage longue durée. Et ce luxe vient avec une responsabilité morale : celle de dire « Non ! » lorsque notre conscience nous le dicte. D’ailleurs, j’ai suffisamment dit « Non ! » (et pas toujours très poliment) pour savoir que le risque est vraiment minime lorsqu’on est un homme blanc avec un beau diplôme. Remarquez que je ne cherche pas à vous dire ce qui est bien ou mal ni comment vous devez penser. C’est votre affaire. Je pense juste que le monde serait infiniment meilleur si les travailleurs refusaient de faire ce qui est contraire à leur conscience. Et arrêtez de vous raconter des histoires, de vous mentir à vous-même. Non, vous n’avez pas une « mission ». Vous cherchez juste à aider à construire un système pour vendre de la merde afin de pouvoir acheter votre propre merde. Après, dire « Non », ce n’est pas toujours possible. Parce qu’on a vraiment quelque chose à perdre. Ou à gagner. Que le compromis moral nous semble...

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[Conférence de presse] Saga du Stade Verdonck (Anderlecht)

#sagadustadeverdonck Besoin de soutien On vous explique : Nous sommes le Front de Mères Belgique et nous travaillons depuis plus d’un an sur le projet de réaffectation de l’ancienne piste d’athlétisme désaffectée du stade Verdonck en un espace vert accessible aux riverains. Pour cela, nous nous sommes associés avec l’asbl We Are Nature et nous avons sollicité le soutien des Ateliers Bri-Co. On se doutait bien que les choses allaient être compliquées mais nous avons joué le jeu en préparant un beau dossier pour expliquer la nécessité d’ouvrir ce parc dans un quartier en carence d’espace vert. Le bien fondé d’un tel projet n’est même pas difficile à comprendre : cela passe par la possibilité d’accéder à un espace vert, de pouvoir s’amuser et faire du sport pour les enfants dans le quartier, de pouvoir impulser une dynamique de cohésion et surtout ce qui est pour nous le plus important càd organiser des pique-nique. Vous vous direz, cela semble raisonnable et cela devrait être possible. On vous épargnera la longue liste d’exigences que la commune nous a demandé et que nous avons remplies avec succès, que ce soit dans la recherche de partenaire sportif, d’organisation de la concertation avec les habitants du quartier, de l’obligation de souscrire une assurance et même d’accepter d’entretenir le terrain avec nos propres moyens. Vous vous direz : purée, on sent la motivation. Fières de nous et du travail accompli, nous attendions de notre dernier rendez-vous avec le bourgmestre d’anderlecht, que soit finaliser cette fichue convention d’occupation précaire pour pouvoir ouvrir les grilles. Quelle naïveté de notre part de croire que cela serait si simple. Notre dernier rendez-vous avec monsieur Cumps s’est très mal déroulé car nous avons très mal pris l’annonce que le dossier était gelé et mis au placard. Les raisons invoquées sont assez diverses, cela va du traditionnel « c’est trop compliqué, vous ne pouvez pas comprendre », on a aussi eu droit à un « Oups...nous avons malheureusement oublié de valider la convention » et pour finir en beauté par un magnifique « se déclarant ni responsable, ni compétent ». Nous organisons donc ce dimanche 6 octobre à 14 heures devant la maison communale d’anderlecht une conférence de presse pour annoncer le rétropédalage complet du bourgemestre dans ce dossier. Les riverains et les enfants exigent l’ouverture de ce parc pour tous. Vous trouverez ci-joint des articles de presse et vidéo du parc. On espère vous y voir nombreux.ses et suivez la #sagadustadeverdonck sur notre compte instagram Front2meresbelgique ou sur facebook : actualités du stade verdonck. contact email : @front.de.mères.belgique@gmail.com reporterre.net Instagram Nous vous invitons toutes et tous à venir nous soutenir ! Vous trouverez un flyer ci-dessous et en pièce jointe. N’hésitez pas à le diffuser. Article Anderlect Contact :

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[Projection ZineKlub] « Une ïle et une nuit » par les pirates des Lentillères

Une île et une nuit est un film de fiction réalisé collectivement au cours des deux dernières années par les habitant-es et usagèr-es du Quartier Libre des Lentillères, lieu autogéré s’étendant sur les dernières terres maraîchères de la ville de Dijon. Ces 8 hectares ont été occupés et remis en culture depuis 13 ans, en résistance à un projet d’« écocité » en béton qui les menace encore aujourd’hui. Au milieu de la ville, ces espaces en friche et ces maisons abandonnées se sont transformées en un quartier autogéré aux multiples usages, faisant s’entremêler habitat collectif, maraîchage, jardinage, auto-construction, événements festifs et culturels, etc. C’est un lieu de luttes et de solidarités en tous genres ainsi qu’une véritable réserve de biodiversité. Auto-produit, auto-diffusé, basé sur la participation bénévole, ce film tourné sur pellicule argentique 16mm s’est construit au fil de la vie du lieu, en corrélation avec celle-ci, au rythme des événements et des saisons. De l’écriture au montage en passant par le tournage, chaque étape a été collective et participative, dans une démarche de partage de savoir-faire ouverte à tou-tes. A Zonneklopper / 23 avenue de la verrerie / 1190 Forest Ouverture des portes : 19h Film : 20h Prix libre - en présence de certaines personnes qui ont participé au film

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Écologie

3 questions à Véronique Clette-Gakuba sur le féminisme décolonial

A la veille de l’event « Kimpa Vita et ses héritières », organisé ce samedi à Charleroi par trois associations en partenariat avec le Musée de l’Afrique, la Docteure en sociologie analyse cette mise à l’honneur belge de Kimpa Vita, résistante anticoloniale du Royaume Kongo, et les enjeux sociopolitiques actuels. Trois questions à Véronique Clette-Gakuba. Investig’Action : En quoi l’évènement autour de Kimpa Vita est-il important ? Donner son nom à un parc et statufier cette figure historique du royaume Kongo – largement inconnue de la majorité des Belges, afro-descendant.e.s ou non – ne relève-il pas d’une habile récupération politicienne, d’un « ravalement de façade décolonial » à bon compte, d’une « opération de marketing » sans lendemains ? Véronique Clette-Gakuba : C’est toujours le risque. Il est très fréquent que des images-symboles se retrouvent mobilisées par des autorités ou des partis politiques dans l’espace public pour tenter de se montrer progressiste sur une réalité, celle du racisme anti-Noir, qui, depuis des siècles, ne bouge pas, n’est absolument pas traité à la hauteur du problème. Le surlendemain du rassemblement Black Lives Matter à Bruxelles, on se souvient du MR qui n’a pas hésité à orner la façade de son siège d’une grande photo de Martin Luther King Jr alors que 2 ans plus tard c’est ce parti (avec l’OPEN-VLD, le CD&V et la N-VA) qui fait échouer la commission sur le passé colonial de la Belgique en refusant que le gouvernement belge s’excuse pour les crimes commis pendant la période coloniale. Dans le cas de Kimpa Vita qui va donner son nom à un parc à Charleroi, lequel va accueillir une statue à son effigie, c’est bien sûr différent car il y a cette matérialisation, c’est-à-dire une référence que l’on inscrit durablement dans l’espace public. C’est clairement une autre démarche. Néanmoins je pense que la question de la récupération se pose. Après tout, même si je pense qu’il y a de quoi se réjouir, cela ne mange pas de pain de renommer un parc et d’y mettre la statue d’un personnage féminin historique. Selon moi, il s’agit de ne pas perdre le fil qui relie les différentes problématiques qui font le déni colonial et perpétue le racisme aujourd’hui. Par exemple, il serait regrettable que cette initiative ne soit pas accompagnée de l’inscription de la lutte et de l’histoire de Kimpa Vita dans le programme d’enseignement. Et à ce moment-là, la question importante sera celle de « qui parle (qui est autorisé à parler ?) » et comment est-ce qu’on en parle ? Il serait par exemple intéressant de faire un parallèle entre Kimpa Vita et Simon Kimbangu qui est aussi un personnage prophétique et anticolonial et qui, lui aussi, s’est fait condamné à mort par l’autorité coloniale, belge, cette fois-ci. Ces dernières années, plusieurs statues de femmes africaines ont été érigées dans différentes villes européennes. Je pense notamment à la statue de Mary Thomas (a mené une révolte en 1878 contre le colonialisme (...)

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