Palestine

Page groupant les articles autour de la situation de la Palestine

Santé / Soins

HYPERINSTINCT PRÉSENTE ZAATARIC LIVE + DJ AU GESÙ

HYPERINSTINCT à l’honneur de vous présenter ZAATARIC en live set au Gesù pour une soirée dédiée à la Palestine et la music du moyen orient. La soirée permettra de récolter de l’argent pour la Palestine afin d’y faire rentrer de l’eau et de la nourriture à Gaza. HYPERINSTINCT à l’honneur de vous présenter ZAATARIC en live set au Gesù pour une soirée dédiée à la Palestine et la music du moyen orient. + Soirée avec DJ jusqu’ à 05H La soirée permettra de récolter de l’argent pour la Palestine afin d’y faire rentrer de l’eau et de la nourriture à Gaza. ZAATARIC - oud techno (23H) - Palestine RAFAEL ARAGON - electro syncrétisme (01H30) - Belgique SÃO MUSTAPHA - ELECTRO DABKÉ (03H30) - France Où : Le Gesù - rue Brialmont 11 saint josse Quand : 14/06 Heure : 23H-05H00 Prix : 5euro Présentation « Zaataric est un artiste de musique techno d’origine palestinienne, influencé par son passé chargé d’émotions et de résilience. Formé en musicologie et guitare classique au Conservatoire, il a développé sa maîtrise de la musique électronique en Europe. Son projet artistique fusionne musique traditionnelle et techno, en mettant en avant le oud palestinien. À travers sa musique, il raconte l’histoire de sa terre natale et cherche à redonner une voix à la Palestine sur la scène musicale. Son nom de scène, inspiré du zaatar, symbolise la résistance et la persévérance. » « Zaataric is a techno music artist of Palestinian origin, inspired by a past filled with emotion and resilience. Trained in musicology and classical guitar at the Conservatory, he later deepened his understanding of electronic music in Europe. His artistic project blends traditional and contemporary sounds, fusing the iconic Palestinian oud with hypnotic techno beats. Through his music, he tells the story of his homeland and aims to restore Palestine’s presence in the global music scene. His stage name, inspired by zaatar—wild thyme that grows defiantly in the Palestinian mountains—symbolizes resistance and perseverance. » Chill zone  Expo for Palestine (sur 2 étage) Reconnexion à l’ancestrale  FROM BXL TO GAZA RÉSISTANCE

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Extrême-droite / Antifascisme

La Belgique autorise à nouveau la livraison d’armes à Israël – Une action de masse organisée !

Alors que ; le génocide du peuple palestinien s’intensifie, que l’armée de l’état coloniale israélien s’applique à détruire toute forme de vie, et toutes les infrastructures permettant la vie à Gaza, que des discussions diplomatiques sont menées par Israël et les Etats-Unis pour déporter un million de palestinien·nes et qu’Israël entend « conquérir toute la bande de Gaza et y rester » : le Conseil d’Etat a autorisé à nouveau le transit d’armes par Belgique pour aller vers Israël. En mai 2024, un arrêté ministériel pris par Elio Di Rupo (PS), interdisait tout transit de matériel militaire par les aéroports wallons (Liège et Charleroi Bruxelles-Sud) à destination d’Israël. Si un génocide est aujourd’hui possible en Palestine, c’est car Israël est soutenu militairement, diplomatiquement, économiquement et logistiquement dans son entreprise d’extermination du peuple palestinien. Par les États-Unis, puis par l’Europe. En effet, les Etats-Unis représentent près de 80% des importations militaires israéliennes.[1] Depuis le début du génocide en octobre 2023, les Etats-Unis ont dépensé 17,9 milliards (d’autres estimations sont un peu plus basses) de dollars en matériel militaire destiné à Israël. [2] Source graphique : https://www.cfr.org/article/us-aid-israel-four-charts#chapter-title-0-4 En ce sens, les états européens – qui eux, acheminent également des armes et possèdent un partenariat économique bilatéral fort avec Israël (l’accord d’association EU – Israël) – et les Etats-Unis sont directement complices du génocide, car ils fournissent les armes dont Israël a besoin. Ces armes transitent majoritairement par voie maritime (avec les compagnies ZIM et Maersk). Mais également via le transport aérien, où Challenge Airlines, un groupe d’entreprises notamment lié à Israël, opérant à Liège, joue un rôle considérable. Challenge Airlines, transporte notamment des pièces et équipements pour les avions (F-16, F-35) qui bombardent en permanence la bande de Gaza. Mais aussi du matériel hautement explosif, des roquettes ainsi que des technologies permettant d’enclencher des bombes sont également acheminés par la compagnie. Selon Vredesactie*, qui a enquêté en profondeur sur Challenge Airlines, les tribunaux belges sont compétents pour poursuivre l’entreprise pour complicité de crime de guerre et contre l’humanité, puisque le matériel militaire qu’elle se charge de livrer à Israël est certainement utilisé dans le génocide à l’heure actuelle. Au moins, 62 vols de Challenge Airlines, ont transporté directement du matériel militaire d’une base américaine à la base Nevatim en Israël. Malgré les mobilisations massives depuis un an et demi partout dans le monde et en particulier en Occident pour rompre tout lien (économique, militaire, diplomatique …) avec Israël, le mouvement propalestinien n’a pas encore réussi à arriver à ses objectifs. Au-delà des déclarations des politiques, le soutien matériel et concret à Israël continue. Le génocide continu....

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Extrême-droite / Antifascisme

[RADIO] Son des prises de paroles et chansons de la manifestation nationale de solidarité avec la Palestine du 11 mai à BXL

"Stop Naqba, stop Génocide" A l’émission Tranche d’anar du mercredi soir 21 mai 2025, on diffusera l’enregistrement son fait par Nicole des prises de paroles et quelques chansons pendant la manifestation « Stop Nakba, Stop Genocide ! » : Manifestation nationale de solidarité avec la Palestine” du dimanche 11 mai 2025 à Bruxelles avec 80.000 manifestantes. Le génocide en cours dans la bande de Gaza depuis plus de 18 mois constitue l’effroyable aboutissement du long processus de dépossession du peuple palestinien. Cette guerre d’extermination que conduit Israël s’inscrit en effet dans la continuité de la Nakba (« catastrophe » en arabe ), lorsqu’en 1948, près de 800 000 Palestinien·es, ont été déplacé·es de force, leurs descendant·es étant encore aujourd’hui privé·es de leur droit au retour. S’en sont suivies 77 années marquées par le colonialisme, l’apartheid, les annexions, la déshumanisation, les privations (dont le blocus de la bande de Gaza) et l’oppression systématique de toutes les composantes du peuple palestinien. Et on terminera avec l’agenda militante de stuut.info. Cette « Nakba continue » et son cortège d’injustices et d’atrocités doit cesser. Alors qu’Israël conduit cette guerre génocidaire en recourant aux méthodes les plus inhumaines, avec notamment le retour de l’usage de la famine contre des populations civiles depuis le rétablissement du blocus humanitaire total depuis le 2 mars dernier, la Belgique ne peut plus se défausser de ses responsabilités. Elle doit contribuer à accroître la pression pour contraindre Israël à se plier à ses obligations internationales et humanitaires ! Depuis le début du génocide en Palestine, des Palestinien·nes organisent quotidiennement des rassemblements à Bruxelles. Majoritairement originaires de Gaza, ces jeunes portent haut la mémoire et le combat de leur peuple et dénoncent, jour après jour, l’horreur qui frappe leur terre d’origine. Face à elles et eux : la violence policière, les arrestations arbitraires et les intimidations s’intensifient. Leur présence se heurte à la répression d’un droit fondamental : celui de manifester. Lors du rassemblement quotidien propalestinien à 19h à la Bourse qui avait lieu en même temps que des concerts dans le cadre de la pride ce samedi passé 17 mai, la police est violemment intervenue. Plusieurs personnes ont été arrêtées pour l’unique motif qu’elles protestaient contre le génocide à Gaza. Parmi elles, des palestiniens qui sont fréquemment sujets à des violences et des intimidations de la part de la de la police. Il y a un appel à venir soutenir les rassemblements qui se tiennent chaque jour à la Bourse de Bruxelles à 19h ! Musiques : "ACAB" Zillakami "Gaza" Keny Arkana Pour plus d’info luttes pour la Palestine : https://stuut.info/+-Palestine-+

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Contrôle social / Répression

[Allemagne] Nakba-day à Berlin, plus de 50 arrestations

Environ 1 100 personnes s’étaient rassemblées à Berlin-Kreuzberg pour commémorer la Nakba, plus de 50 personnes ont été arrêtées. Fin d’après-midi, des affrontements très brutaux ont eu lieu avec les forces d’intervention. Les assauts musclées des policiers ont déclenché la riposte des militants présents. Des bouteilles, des canettes de boisson, de la peinture rouge et d’autres objets ont été lancés sur des policiers. Un mouvement de foule a entrainé la chute de plusieurs agents qui ont été piétinés, une dizaine d’entre eux ont été blessés, dont au moins un grièvement. 600 agents étaient affectés au maintien de l’ordre. Initialement, les militants pro palestiniens devaient se déplacer en cortège mais ce dernier a été interdit par les autorités. C’est en voulant franchir le cordon de sécurité qu’un groupe de manifestants a fait chuter les policiers. Une auto-pompe était présente mais n’a pas été employée. Les participants ont scandé à plusieurs reprises des slogans tels que « Israël tueur d’enfants », « Yallah, yallah Intifada » et « From the river to the sea ». En Allemagne, ce dernier slogan est interdit depuis novembre 2023 et est considéré comme un appel à l’anéantissement de l’État israélien, passible d’amendes et de peines de prison ( voir article ici ). Le gouvernement fédéral allemand a également été pris à partie pour ses livraisons d’armes à Israël. images vidéo en lien : https://fr.euronews.com/video/2025/05/16/heurts-a-lissue-dune-manifestation-pro-palestinienne-a-berlin

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Extrême-droite / Antifascisme

Une banderole « Stop Arming Israel » déployée sur le musée de l’armée à Bruxelles

Ce jeudi 15 mai, en commémoration de la Nakba, une banderole « Stop Arming Israel » a été déployée sur le musée de l’armée au Cinquantenaire à Bruxelles. https://www.irruption.be/wp-content/uploads/2025/05/250515-irruption-palestine15mai-v1-1080p.mp4 Dans leur communiqué, les activistes écrivent : « Le génocide en cours dans la bande de Gaza depuis plus de 18 mois constitue l’effroyable aboutissement du long processus de dépossession du peuple palestinien. Ce 15 mai commémore les 77 ans de la Nakba, « catastrophe » en arabe, le massacre de 15 palestinien.nes et l’expulsion de 800.000 autres de leurs villes et villages par Israël en 1948. Le même processus se déroule aujourd’hui contre la population de Gaza et de Cisjordanie. Plus de 62 000 personnes ont été assassinées, 85 % de Gaza est en ruine et 2,2 millions de personnes sont affamées. Seule une augmentation massive de la solidarité mondiale avec la lutte du peuple palestinien peut enrayer la machine de mort israélienne ! » « De genocide in Gaza, die al meer dan 18 maanden duurt, past binnen een gruwelijke, langetermijnstrategie van onteigening van de Palestijnse bevolking. Op 15 mei wordt het 77ste jaar sinds de Nakba herdacht, waarbij Israël 15.000 Palestijnen vermoordde en 800.000 Palestijnen verdreef uit hun steden en dorpen. Dit vond plaats in 1948. Dezelfde strategie van onteigening en verdrijving vindt ook vandaag plaats. Zowel in Gaza als in de Westelijke Jordaanoever. Meer dan 62.000 mensen zijn vermoord, 85% van Gaza ligt in puin en 2.2 miljoen mensen in Gaza zijn geconfronteerd met honger. Er is nooit een einde geweest aan de Nakba, maar ook het verzet is nooit verdwenen ! Toch is er dringend behoefte aan een krachtige toename van wereldwijde solidariteit met de strijd van de Palestijnse bevolking. Stop the Israeli death machine ! »

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Racismes / Colonialismes

[France-Paris] Manifestation nationale pour exiger la libération de Georges Abdallah

Samedi 14 juin 2025 à 14h00, place de la République - Paris - Libérons Georges Abdallah ! Le 12 mars dernier, nous apprenions que le parquet général avait formé un pourvoi en cassation contre l’arrêt de la cour d’appel de Paris du 20 février dernier. Celle-ci, sans remettre en cause la libération de notre camarade obtenue en première instance le 15 novembre 2024, a inventé de l’ajourner à une nouvelle audience, fixée au 19 juin prochain, afin qu’il « justifie d’un effort conséquent d’indemnisation des parties civiles », une « mesquinerie juridique » inédite selon l’avocat de Georges Abdallah. En lançant cette nouvelle offensive, le parquet - dépendant et aux ordres du pouvoir - est dans son rôle pour tout faire afin de maintenir Georges Abdallah en prison. La seule chose qui pour nous est certaine, c’est que cet événement exige de tous les soutiens de Georges Abdallah d’intensifier toujours plus la mobilisation pour contrer cette nouvelle attaque du pouvoir et de sa justice. Le pouvoir et son appareil répressif s’acharne à perpétuité contre Georges Abdallah ? À nous de lui démontrer sur tous les terrains et par tous les moyens nécessaires que, tous unis pour la cause juste de notre camarade, nous allons continuer de nous acharner à obtenir sa libération ! En ce sens pour le nouveau plan de bataille lancé par la Campagne Unitaire, saisissons-nous de toutes les initiatives locales pour faire de la libération de Georges Abdallah un impératif de chaque instant et de toutes nos luttes jusqu’à la victoire et mettons-nous en ordre de marche pour le prochain grand temps fort national et international du 14 juin prochain - jour de la prochaine grande manifestation nationale à Paris, à 5 jours de la nouvelle audience de la Cour d’appel de Paris car le 19 juin, Georges Abdallah doit être libéré ! Soyons à l’offensive pour contrer les attaques du pouvoir ! La Palestine vaincra ! Libérez Georges Abdallah ! Continuons le combat jusqu’à sa libération ! La solidarité est notre arme ! Nous vaincrons ! 41ans de prison ! Toute une vie de combat ! Campagne unitaire pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah Campagne.unitaire.gabdallah@gmail.com Facebook : pour la libération de Georges Abdallah Instagram : cuplgia – Tweeter : CUpLGIA

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Extrême-droite / Antifascisme

Provocations racistes, arrestations violentes et nasse contre les rassemblements quotidiens à Bourse

Depuis le début du génocide en Palestine, des Palestinien·nes organisent quotidiennement des rassemblements à Bruxelles. Majoritairement originaires de Gaza, ces jeunes portent haut la mémoire et le combat de leur peuple et dénoncent, jour après jour, l’horreur qui frappe leur terre d’origine. Face à elles et eux : la violence policière, les arrestations arbitraires et les intimidations s’intensifient. Leur présence se heurte à la répression d’un droit fondamental : celui de manifester. D’abord organisés à la Gare Centrale, les rassemblements ont été déplacés depuis plusieurs mois à la Bourse, en plein centre de Bruxelles. Mais cette occupation pacifique de l’espace public dérange. Ces dernières semaines, la répression s’intensifie. Le bourgmestre de la Ville, Philippe Close (PS), semble déterminé à empêcher ces manifestations quotidiennes. À plusieurs reprises, la police est intervenue avec une violence injustifiée. Le jeudi 8 mai, un jeune homme palestinien, H., a été violemment interpellé alors qu’il était simplement assis sur les marches de la Bourse. Il a été mis au sol par plusieurs agents de police qui ont utilisé une prise d’étranglement pour l’immobiliser. Il a également reçu plusieurs coups à la tête, et des coups de pied sur les mains. Il a été libéré le samedi 10 au soir. Selon les autorités de la Ville de Bruxelles, le rassemblement ne serait plus autorisé à déborder sur les marches du bâtiment de la Bourse, pour des « raisons d’accès à un bâtiment privé ». Une justification étonnante, quand on sait que les marches sont quotidiennement occupées par les touristes, des passant·es assis·es pour se reposer, ou regarder des spectacles de danse de rue qui ont lieu à ces mêmes endroits. Plusieurs semaines auparavant, le 6 avril, un autre homme palestinien T., avait été arrêté et tabassé par les forces de l’ordre, puis emmené dans un centre fermé, où il a à nouveau subi des violences. Son incarcération en centre fermé s’est révélée être « une erreur« , car il avait une procédure d’asile en cours pour être reconnu comme réfugié. Il a été libéré deux jours plus tard, le 8 avril. Cette situation est symptomatique d’un fonctionnement global de répression envers les personnes que l’État considère comme « illégales », plus particulièrement celles ayant des activités politiques : l’État utilise ses outils de contrôle et de défiance pour criminaliser et enfermer les personnes non blanches et sans titre de séjour, comme si elles n’avaient aucun droit. La répression ne s’arrête pas à la violence physique exercée lors des rassemblements. En amont même des manifestations, les forces de l’ordre mettent en place des contrôles visant les personnes perçues comme palestiniennes ou solidaires. En effet, T. depuis son arrestation du 6 avril est « interdit de manifester préventivement« . Cette interdiction préventive a été prononcée par un juge d’instruction dans le cadre de sa libération conditionnelle. Le 9 mai, toujours lors d’un (...)

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Extrême-droite / Antifascisme

[Palestine] Jénine entre raids et blocus

Les forces israéliennes ont commencé à ériger des barrières de fer à l’entrée du camp de réfugié·es de Jénine, cibles des raids meurtriers. Depuis plus de 100 jours, les raids israéliens ont pratiquement vidé le camp de ses habitant·es et les dirigeants israéliens ont affirmé qu’il leur serait interdit de retourner chez elles et eux avant au moins un an. Les barrières israéliennes faisaient partie de la vie des habitants du camp : 150 barrières permanentes de ce type ont été installées depuis le 7 octobre 2023. Mais les forces d’occupation créent une séparation qui n’a jamais existé avant, entre la ville et le camp : c’est la première fois que l’une de ces barrières est érigées au cœur de la zone A, qui couvre près de 18% de la Cisjordanie et est censée être sous le contrôle total des Palestinien·nes. Dans la ville de Jénine, les déplacements de population se poursuiventLe 3 mai, au moins sept familles ont été contraintes d’évacuer leurs maisons dans une zone située près de l’hôpital gouvernemental de Jénine. Six de ces familles avaient déjà été déplacées du camp de réfugiés de Jénine. La ville souffre aussi des péuries d’eau. La municipalité de Jénine était parvenue à rétablir l’approvisionnement en eau entre le puits d’As Saa’deh et les foyers d’environ 15 000 habitants de l’ouest de la ville. Toutefois, selon la municipalité, l’est de la ville est toujours privé d’eau, ce qui touche environ 20 000 personnes qui dépendent désormais de camions-citernes, de raccordements temporaires et d’autres solutions à court terme.

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Contrôle social / Répression

[États-Unis] Rumeysa Ozturk a été libérée

Un juge fédéral américain a ordonné, ce vendredi 9 mai, la libération immédiate de l’étudiante turque devenue un symbole de la volonté de l’administration Trump de museler le mouvement de solidarité avec les palestiniens de Gaza. L’arrestation filmée en direct de Rumeysa Ozturk le 25 mars avait suscité l’indignation (notre article ici ). L’administration Trump avait demandé son expulsion du territoire au seul motif d’avoir co-signé un article critiquant la gestion de l’université face au mouvement de protestation contre le génocide de Gaza. Un juge fédéral a ordonné vendredi « au gouvernement de la relâcher immédiatement ». Elle était incarcérée dans un centre de détention géré par ICE depuis plus de six semaines en Louisiane, elle a suivi l’audience du tribunal par visioconférence où le juge a refusé d’assortir cette libération de restrictions de mouvement suggérées par le gouvernement. Rumeysa Ozturk est « libre de retourner chez elle au Massachusetts ». Elle devra néanmoins se rendre dans un centre municipal de réinsertion des détenus et reste sous le coup d’une procédure d’expulsion. Dans une affaire similaire, un autre juge fédéral du Vermont a ordonné, le 30 avril, la libération de Mohsen Mahdawi, étudiant palestinien impliqué dans le mouvement à l’université Columbia contre la guerre à Gaza. Mohsen Mahdawi est le cofondateur d’un groupe d’étudiants palestiniens à l’université Columbia, avec Mahmoud Khalil, figure de la mobilisation estudiantine pro palestinienne aux Etats-Unis que l’administration de Donald Trump tente d’expulser depuis son arrestation le 8 mars ( lire notre article ). Le président a lancé une offensive contre les universités américaines, les accusant de laisser prospérer sur leurs campus des mouvements de soutien aux Palestiniens face à l’offensive israélienne dans la bande de Gaza, qu’il assimile à des manifestations d’antisémitisme.

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